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Béa en manque de soumission :

  • Maître Bernard
  • 22 mai
  • 5 min de lecture

Dernière mise à jour : 4 juin

Bonjour à  toutes et à  tous,

Je suis heureux de vous retrouver, j'espère qu'il en n'est de même  pour vous ? 

 

Une nouvelle séance que, je vais partager avec vous chères abonnés, chères visiteurs.

 

 

Mesdames,  couples candaulistes, cocukolds,  vous parcourez pour certains d'entre vous mon blog depuis bien  longtemps, pourquoi ne pas le vivre en réel  et que, cela soit vous que les autres regardent,  admire !!!

 

Contactez-moi  et discutons.....

 

Béa m’a contacté après une période d'abstinence et, comme toute soumise qui se respecte,  le besoin d'être  dominée, contrainte, encordée, bâillonnée, utilisée, offerte corps et âme à  son Maitre, lui a  beaucoup manqué au point d'en rêver jour et nuit, pincement du ventre et plus intime, humide,  mouillée, jouer avec god, vibromasseur ne remplace en rien un Maitre. 

 

 

Je suis venu à  elle car, elle aime être humiliée chez elle, dans sa chambre, profaner son  domicile, profaner sa chambre conjugale et ainsi être encore plus humiliée.

 

Une fois  dans sa chambre, au centre de celle-ci,  elle s’est agenouillée, relève sa jupe pour faire apparaître sa chute de reins et, par la même occasion,  montrer à  son Maître son obéissance, pas de petite culotte,  épilée douce et lise.

 

Effectivement, pas de petite culotte, toujours prête et disponible pour servir et honorer son Maître 

Par contre, pas d'intimité lisse et douce  mais, une affreuse pilosité.

La punition en sera bien plus chaude, colorante et frappante.

 

Elle baisse son buste, pose ses paumes sur le sol, les bras écartés, sa joue posée sur le sol, cambre ses reins pour relever son croupion et ainsi, humble, offerte soumise,  ouverte et trempées, me dis d'une voie respectueuse,

 

Je suis à  vous pour la journée  Maître,  je suis votre chose, votre jouet, votre objet, faite de moi ce que bon vous semble.

 

Je viens vers elle, fait glisser ma cravache sur ses fesses, glisse le cuir de celle-ci entre la raie des fesses bien tendues et offertes, fait glisser, coulisser ma cravache entre ses grandes lèvres.

 

Sa respiration s'accélère,  ses jambes tremblantes sautillantes d'excitation.

Les premiers gémissements se font entendre.

 

Juste à  ce moment, je choisis de lui claquer les fesses avec ma cravache.

Surprise de passer des caresses jouissives au claquement chaud et colorés, elle cris.

 

Je lui ordonne de ne pas crier mes au contraire de me remercier.

Elle s'exécute  et me dis merci mon Maître de me rappelle qui je suis, merci mon Maître  de prendre de votre temps pour moi, merci mon Maître de me dresser et faire de moi une soumise et que je sois fière de n'être  que votre objet et ainsi être à  ma place.

 

Je lui ordonne  de se lever, de se mettre nu et une fois fait, de ce mettre à  genoux, les bras dans le dos, le visage tendues vers moi, la bouche ouverte. 

 

Elle retire la totalité  de ses vêtements, s'agenouille,  mets les bras dans le dos et, ouvre la bouche.

 

Je lui dis d'un ton sec et autoritaire, tu sais ce qu'il te reste à  faire.

Elle me répond,  oui mon Maître effectuer mon devoir et avoir l'honneur d'avoir votre semences en bouche. 

 

Elle saisit mon pénis entre ses lèvres et commence une fellation gourmandes, comme j’aime.

 

Au bout d'un moment, je prends ses cheveux dans ma main gauche et commence à  contrôler aussi bien la vitesse de succion que la profondeur.

 

Je récents beaucoup d'excitation en elle, des plaisirs d'être ainsi utilisée comme vide couille.

 

Je continue à  utiliser sa bouche jusqu'au moment où j'éjacule.

Cette éjaculation, je la partage entre sa bouche et son visage.

J'aime voir ma semences couler sur le visage d'une soumise et dans le même temps, vois qu'elle déglutie pour avaler mon sperme.

 

Le visage dégoulinant, excitée, je prends mon pénis en main et le nettoie sur ses joues pour bien qu'elle se sente utilisée, humiliée.

 

Je lui donne l'autorisation de se nettoyer mais de façon à  ce qu'elle n'en perde pas une goutte.

 

Elle passe sa langue sur 360° autour de sa bouche pour récupérer  le sperme et, avec un doigt,  racle tout son visage pour récupérer le reste et, à  chaque passe, suce sont doigt pour profiter du nectar.

 

Une fois terminé, je lui donne l'ordre de s'allonger sur le lit, les jambes bien ouvertes et commence à  la contraindre avec des sangles de cuir.

Son buste et ses bras, ses cuisses et ses chevilles.


En attente d'être un objet pour son Maître
En attente d'être l'objet de ses fantasmes et plaisirs.

 

Contrainte, offerte la vulve bien ouverte et mouillées, je décide de la prendre sans ménagement et de bien taper  au fond.


Pour elle être utilisée et se sentir utilisée
Prêt à utiliser mon objet.

 

Je la possède très fortement, pincent ses tétons,  claquant  ses seins, elle cris,  gigote au rythme de mes va et viens, ses seins bougent aux rythmes de mes assauts.

 

Ainsi attachée, offerte et utilisée, béa cris sont  premier orgasme, alors sous cette manifestation de sa jouissance, je me retire brusquement et dans la foulée,  la sodomise.

 

Elle se débat,  cris, bouge mais rien n'y fait et je m'agite en elle, dans ce petit troue et ajoute à la pression en lui pinçant les grandes lèvres, tirant  sur ses tétons,  jouant  avec son clitoris.

 

Complètement folle, complètement possédée, elle ne contrôle plus rien, c'est à  ce moment précis où  elle est à  moi, que je contrôle sa jouissance, ses orgasmes, sont esprit, sont subconscient.

Elle ne peut  être plus à  moi, une esclave aux mains de son propriétaire.

 

Vidé, essoufflé,  je me retire et la laisse ainsi contrainte, attachée, souillée, dégoulinante et, elle devra attendre mon bon plaisir pour que je la libère.

 

 

Au bout d'une vingtaine de minute, je la libère,  saisies  ses cheveux, tire sa tête vers mon pénis et lui ordonne de le nettoyer avec sa langue.

 

Elle obéit et commence son devoir, nettoyer son Maître. 

 

Une fois terminé,  je la laisse ainsi et part,  lui fessent comprendre qu'elle reste un objet de plaisir, un outil que l'on range une fois utilisé et ainsi,  humiliée et donc se sentent  à  la place qui est la sienne.

 

Voilà j'espère que cela vous a  plu, que vous vous êtes peut être identifiées mesdames. 

 

Peut-être que les jours prochains, une nouvelle soumise serras sur mon blog.

Cette très jeune femme rêve d'être initiée, éduquée, dressée et enfin être au grand jour, celle qu'elle est dans ses plus grands secrets.

 

Auras-t ’elle  le courage de faire un pas vers moi et vivre enfin sa soumission ? L'avenir nous le dira.

 

Bien à vous, Me Bernard.


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