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Béa et les cordes de jute :

  • donjonbdsm2
  • 3 déc.
  • 8 min de lecture

Bonjour à toutes et tous, heureux de vous retrouver.

Béa qui petit à petit s'immerge de plus en plus dans les pratiques BDSM, le bondage, le shibari, l'obéissance, l'offrande de son corps, de son esprit, cela lui plaît de plus en plus. Elle aime trouver, ressentir ce lâcher-prise, cet abandon de soit-même, ne plus rien décider, obéir et subir les ordres de son Maître même si, on ne peut pas réellement parler de Maître et de sa soumise dans notre relation.

Cela reste entre nous, une évasion, une complicité, chacun offre à l'autre une partie de sa personne, le tout dans le respect et la symbiose des sens.


Elle n'est pas ma soumise, celle-ci, je la cherche toujours, celle qui sera à moi, corps et âme.

Qui sera entièrement à moi un jour ou deux par semaine, dans notre donjon.

Le reste du temps, elle devra obéir à mes ordres par texto, par mails, par téléphone, effectuer ses devoirs chaque jour, exécuter mes protocoles vestimentaires, de comportement, me le prouver chaque matin en photo, en texte ou elle devra par ses écrits, s'offrir par les mots, s'offrir par sa dévotion, voir son humiliation, cela, pour nos plaisirs, chacun à sa place, ainsi être heureux tout deux.


J'ai donné l'ordre à Béa par mail de se préparer pour un jour précis, un créneau horaire précis et, que je ne tolère aucune excuse, aucun désistement cela, pour lui offrir le ressenti de n'être qu'un objet, une chose, un jouet entre mes mains.


Je lui ai également ordonné de se vêtir de sa combinaison en dentelles noires, de son collier de chienne, avec la laisse, de ses talons les plus hauts et cela, sans aucune remarque, ni protestation, obéir et exécuter, rien d'autre.


Je me suis présenté devant sa porte, j'ai sonné, là, devant moi, une fois avoir ouvert la porte, Béa se positionne à genoux, le visage baissé, les bras tendus vers l'avant, les fesses relevées, les jambes bien écartées, dans sa tenue de soumise, prête à obéir, à subir, à servir, elle me dit : je suis votre chienne Maître, à vos ordres et sévices.


Je prends sa laisse qui est au sol, tout près de son visage, tire sur celle-ci indiquant mon autorité, ma domination, comme l'on tire sur la laisse d'une chienne qui renifle un mâle.

Je lui ordonne d'une voix sèche et ordonnatrice de me suivre dans le salon, à quatre pattes.


J'ai eu envie de changer, ce n'est pas sa chambre cette fois, je sais qu'elle aime être humiliée, utilisée dans celle-ci et de savoir que c'est la chambre conjugale, je choisis le salon.


Elle remarque ce changement de destination et me dit, Maître, nous n'allons pas dans ma chambre ?

Je lui réponds que je fais d'elle ce qui me plaît, comme je veux, où je veux, et que je n'ai aucun compte ou demande à lui rendre, elle sourit.

Elle me répond oui mon Maître, veuillez recevoir mes plus plates excuses pour cette insubordination.

Je lui réponds de ne pas s'inquiéter, je saurais lui faire passer l'envie de toute remarque irrespectueuse dans un instant.

Là, elle me regarde avec un visage inquiet, que va-t-il me faire subir comme punition pour avoir osé parler sans son autorisation ? Voir, le contredire, pense-t'elle ?


Je lui montre de mon doigt tendu un des murs de son salon, elle vient se positionner tout contre.

A cet instant, je la regarde, l'inspecte du regard, ce regard presque palpable, intrusif, également très inquisiteur.


A ce moment, je prends le bandeau rouge et lui couvre les yeux pour la plonger dans le noir, provoquer chez elle, dans son esprit, son âme de soumise, prête à obéir, servir ce sentiment de n'être qu'un objet entre mes mains, ne pas savoir ce que je vais faire d'elle, comment je vais l'utiliser.

C'est pendant ces moments où elle se sent libre, ce lâcher-prise que de n'être plus femme mais rien, comme une clé que l'on glisse dans sa poche, une montre, un sac à main, juste un objet pratique et ludique.


Plongée dans le noir complet, je la laisse ainsi quelques minutes pour qu'elle ressente ces sentiments, ces ressentis qui se bousculent dans sa tête.

Je laisse son imagination gambader, imaginer ce que je vais lui faire, lui faire découvrir.


Au bout d'un moment, je viens vers elle, lui caresse les tétons à travers la dentelle de sa combinaison, lui donne des fessées sur sa croupe, passe ma main entre son entre-jambe ouverte, par cette découpe de sa combinaison, je la chauffe, la fait s’hésiter et, à ce moment, je saisis le bâillon boule, l'introduis dans sa bouche et le verrouille très serré dans son cou.


Je sais pertinemment qu'elle aime énormément quand je contrains sa bouche avec un de mes bâillons, quand elle est contrainte, fortement contrainte, encordée, mais je sais également que c'est l’excitation extrême d'être "attachée" très fortement qui amplifie ses plaisirs d'être à ce point objet, offerte, entièrement sous ma domination et ainsi, devoir attendre mon bon plaisir à la libérer de mes liens.

Mais le veut-elle vraiment être de nouveau libre ? Qu'en pensez-vous ?


Il est vrai aussi que je sais qu'elle n'aime pas trop être bâillonnée libre, sans être encordée sévèrement et, c'est pourquoi, aujourd’hui, j'ai envie de lui infliger mon bâillon boule très fermement serré dans sa bouche, comme punition d'avoir osé parler, protester.


Là voilà les yeux bandés, la bouche bâillonnée, offerte, soumise, prête à m'appartenir.

Je prends une de mes cordes rouges et, tour après tour, contrains ses chevilles, bien serrées l'une contre l'autre.


Je prends une autre corde, fais un nœud pour former un anneau, glisse celle-ci derrière son cou et, tous les dix centimètres, fais un nœud plat qui va me servir plus tard pour ce bondage très corporel, mais touchant aussi bien la peau que l'âme.


Je saisis ses poignets et lui ordonne de bien plaquer ses bras le long de son corps, de façon à ce que ses bras, ses mains, soient plaqués contre son buste.


A ce moment, commence mon bondage, aussi bien artistique que contraignant son corps, son esprit, son âme de femme devenue soumise, objet, ma chose.


A chaque nœud le long de son corps, je tends ma corde et divise celle-ci pour me permettre de passer dans son dos, de tendre au maximum celle-ci et ainsi, créer le diamant.

Au-dessus de ses seins, sous ses seins, un peu plus bas, à la hauteur de son nombril, et ainsi, contraignant ses bras, son buste, de façon efficace et excitante pour elle, et que cet art est beau.


La sentent déjà en phase de lâcher-prise, s'abandonnent à cet homme qui fait d'elle réellement ce qu'elle est au plus profond de son intimité, esclave de ses sens, soumise à ces cordes, à cet homme, elle commence à quitter le sol.


Je ne m’arrête pas là et, continue avec ses jambes pour une immersion totale dans les contraintes de cordes, les sensations, les ressentis, les plaisirs que cela apportent à toute femme.


Ses cuisses bien serrées, bien encordées, jusqu'aux genoux, en dessous des genoux, ses mollets, et pour finir, bien relier ces cordes passées devant, derrière à la corde première, celle qui depuis le départ, contraint ses chevilles et l’empêchant d'effectuer tout mouvement.


Elle est magnifique ainsi contrainte, du cou aux chevilles, les yeux bandés, bâillonnée, avec son collier et sa laisse de chienne, offerte à ce Maître mais, offerte à elle-même, à ses fantasmes de soumissions et se sentir complétement impuissante au moment présent.

Jouir de ces plaisirs qui envahissent la totalité de son être et de comprendre qu'elle n'est plus à elle, mais qu'elle appartient à cet homme, ce Maître, que lui seul peut décider de la libérer ou non, objet utilisé, jouet, chose, elle se sent bien ainsi.


Je fais quelques pas en arrière pour admirer cette soumise ainsi contrainte, encordée.

Je regarde le rendu final et, j'avoue, que je trouve qu'une contrainte bien plus forte et bien visible pour vous abonnés, visiteurs, serait palpable.


Je prends dans mon stock une autre corde, et passe celle-ci de façon à passer entre buste et bras pour serrer encore plus ceux-ci et empêcher tout mouvement.


Je prends une autre corde, et fais de même pour ses jambes, passant entre celles-ci pour amplifier l'effet de contrainte.


La voilà complètement dominée par mes cordes, mes noeuds, ma domination sur son corps, son esprit, son âme.

Elle est à moi, ne pouvant bouger, dans l'obligation de subir, dans l'obligation d'attendre ainsi entièrement encordée, 'attachée' ne pouvant faire un geste.

Être consciente de ce moment, consciente de n'être qu'un objet de décoration, un magnifique objet, mais plus une femme et jouir de cet instant, instant de complète lâcher- prise.


Je l'ai laissé ainsi, méditer, s'immerger dans ses ressentis, ses sensations, ses plaisirs d'être ainsi complètement dépendante de ce Maître qui l'a révélée.


J'ai trouvé l'objet tellement beau que, je me suis reculé pour admirer cette œuvre, cet objet, de plus loin et ainsi la trouver magnifique.


Je constate que ses jambes tentent de bouger, je vois son buste, ses bras, vouloir se libérer mais, je sais qu'il n'en est rien, son désir n'est pas de se libérer mais, au contraire, savourer cet instant et en forcent sur mes cordes, constater, aimer être contrainte à un tel niveau.


Je sais pertinemment que son intimité est trempée, je constate que ses tétons pointent à travers la dentelle de sa combinaison, j'entends clairement ses gémissements étouffés par le bâillon.


Je la laisse ainsi entièrement immergée dans ses pensées inavouables, la regarde, l'admire, je la trouve vraiment belle ainsi offerte à mes cordes, à ma domination mais surtout à ses propres fantasmes et plaisirs intenses.


Je ne l'ai pas touchée, je me suis contenté de l'admirer, de la laisser dans son lâcher-prise et attendre passement que la magie opère, et soudain, un son bien connu, même si celui-ci étouffé par le bâillon est révélateur.


Un orgasme se fait entendre, je vois ses jambes se serrer, son buste se durcir comme, ses seins, ses tétons, une légère chair de poule traverse la totalité de son corps, la bave de ses sécrétions d’excitation, de jouissance passe entre la boule du bâillon, tombe sur la dentelle, entre ses seins.


La voilà, toute chose, toute molle, de l'orgasme vécu.

Je la laisse encore quelques minutes ainsi, la laisse profiter de cet instant magique.

Au bout d'un moment, je lui retire le bâillon, libère sa bouche, aussitôt elle reprend son souffle et me dis : merci Maître, détachez-moi s'il vous plaît que je puisse vous remercier comme une bonne soumise se doit de le faire.


Béa contrainte par des cordes de jute
Béa bondage et soumission

Je retire tour de corde après tour de corde, nœud après nœud et, une fois totalement libérée, elle se positionne à genoux, les bras dans le dos, jambes écartées, ouvre la bouche.

C'est à ce moment que je décide de partir, la laissant là, en position de soumission, prête à s'offrir pour remercier le Maître de ces plaisirs intenses.


Elle me regarde partir et comprend que c'est sa punition, d'avoir osé, protester sur mon choix du salon et non de la chambre pour cette séance.


Pour ma part, cette séance m'a donné beaucoup de plaisir, le bondage, le shibari sur le corps, l'esprit, l'âme d'une femme sera toujours pour moi, ma passion première, même sans la posséder sexuellement.


Voila cette séance avec Béa terminée, j'espère que cela vous à plu.


Mesdames, mesdemoiselles, n'hésitez pas à me contacter pour vivre vos fantasmes de soumissions.

Je pourrais les organiser pour vous, sur mesure et ainsi, respecter à la lettre, votre check-list, vos envies de découvertes, votre véritable nature, celle qui est en vous, la libérer ensemble, mais aussi vos limites.


A vous lire, belle journée.

Me Bernard


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