Bonjour à toutes et à tous, cela fait plaisir de vous retrouver pour cette parution de novembre.
J'espère que vous allez bien et que vos fantasmes de soumissions, vos envies de nouveaux ressenties, d'intense sensations, de plaisir orgasmiques vous titillent l'esprit, l'âme et que votre indécision, votre hésitation, à découvrir qui vous êtes vraiment, laisser celles qui vivent en vous et ne demande qu'à êtres libérées pour, vivre votre lâcher prise, est de plus en plus forte et ne demandant qu'à vivre ces moments riches et révélateurs.
Cette nouvelle séance, c'est celle de Béa, qui à de nouveaux passé une étape dans son initiation, son éducation à devenir la soumise libérée par les contraintes qu'elle souhaite être.
Cette fois les contraintes fortes, plus psychologique que physique, obéissance sont de mise et ainsi, lui permettre de se sentir dominée, utilisée, n'être que l'objet du Maître à qui elle a confiée son corps, son esprit, son âme et de ce fait, libérer la soumise enfermée dans ce corps, cet esprit, ce subconscient pour vivre enfin sa soumission libre dans les contraintes les plus diverses.
Pour changer, c'est moi qu'il l'est contactée avec comme ordre de se présenter à une adresse qui n'est pas n'y celle du donjon, n'y la sienne.
Un appartement d'une amie partie en voyage où, je m'occupe des plantes, poissons, courriers.
Je n'ai pris aucun renseignement sur la disponibilité de Béa, libre où pas, elle doit se présenter à cette adresse un jour imposé et horaire imposé.
Imposé également la tenue, venir déjà prête en tenue de soubrette, à l'intimité lisse et douce, libre sans tissus, que celles-ci sente l'air, la fraîcheur sur ses muqueuses, talons de plus de 10 cm, bas porte jarretelles, coiffée, maquillée, sous un manteau non boutonné.
Au téléphone un grand blanc, silence total de Béa puis elle balbutie 2, 3 mots tout tremblants dans la voie, Maître non s'il vous plaît, pas cela, je ne peux sortir dans la rue ainsi vêtue, les passant vont voir ma tenue, quand je vais monter dans ma voiture, tous les passants vont voir mes bas, ma tenue de soubrette, je vais passer pour une p...
D'un ton ferme et ordonnateur, je lui dis qu'elle n'a pas le choix et qu'elle doit tout faire pour me satisfaire, obéir aveuglément quel que soit la demande, l'ordre.
Elle finit par me dire, comme vous voulez mon Maître, il est vrais je reconnais que c'est ma demande, mon fantasme même si, j'ai toujours pensée à ce jour ou vous alliez m'ordonner un tel défi, que je serait tétanisée par la peur où, cette petite voie qui m'accompagne toujours pour me dire mais, ma fille te rend tu compte de ce que tu fait, de ce que tu aime, de ce qui te rends heureuse, comblée, ne plus être une Femme, n'être qu'un objet au mains de cet Homme à qui tu t'es offerte corps et âme.
Mais j'avoue mon Maître être heureuse quand je suis ainsi, je me sens libre dans vos contraintes, libérées d'être asservi, soumise et heureuse de l'être, me laisser aller à vos pratiques, votre imagination, me laisser diriger et ne plus penser, ne plus réfléchir, obéir et rien de plus.
Nous voici ce jeudi, il est 10 h, je suis déjà dans l'appartement de Sophie, j'attends Béa qui, n'a pas le droit d'être en retard sous peine de punition cuisante et colorante.
La sonnette retentit, je vais vers la porte, l'ouvre et là, je vois Béa rouge de honte et la jambe droite excitée, qui bouge de façon très nerveuse. Elle me demande très pressée, je peux rentrer Maître ?
Je lui réponds qu'elle pourra rentrer quand elle aura retiré son manteau sur le palier.
Elle me regarde, baisse les yeux, les pommettes rouges, retire son manteau, me donne celui-ci.
Là, elle fait un mouvement pour rentrer, mais comme je ne lui ai pas donné l'ordre d'entrer, je la stop dans son élan.
Mais soumise, je ne t'ai pas dit de rentrer, tu dois attendre d'en avoir l'autorisation.
Elle recule et d'un regard très humilié et à la fois excité, elle attend et le dit, veuillez m'excuser Maître.
La porte du voisin du haut s'ouvre, je sais qu'il part au travail à cette heure.
Béa à entendue également et là, elle panique, me supplie, je vous en pris Maître, ne m'infliger pas cela.
J'attends, fait mine de réfléchir et juste avant que le voisin tourne à l'angle de l'escalier, donne l'ordre à Béa d'entrer.
Elle est rouge de honte, sert ses cuisses l'une contre l'autre, elle est gênée, me demande où sont les toilettes.
Je fais mine de réfléchir et finie par lui indiquer la bonne porte.
Devant des toilettes, je l'attends de pieds ferme et lui indique qu'elle doit se rendre dans le salon qui est face à elle, tout droit, mais, si rendre à quatre pattes et m'offrir la vue de cette soubrette, en bas porte jarretelles avec coutures, ceux que je préfère, féminité, élégance, glamour.
Elle a obéi, se mets à quatre pattes et avance vers le salon avec, la vue fétichiste de ses talons aiguilles de 12 cm et le déhanchement propre à une femme qui avance ainsi, au sol, à quatre pattes, féline, mais soumise.
Nous rentrons tout 2 dans le salon.
Sur la table basse, un matelas posé dessus, ces matelas échantillons qui sont souvent utilisés dans les emballages de matelas comme protection, calage.
J'ordonne à ma soubrette de s'installer dessus, toujours à quatre pattes et ainsi, s'offrir en spectacle.
Elle est magnifique ainsi exposée, en œuvre d'art, objet de décoration.
Je la laisse ainsi un moment qu'elle s'imbibe du lieu, de la position d'offrande, de la soumission que représentent cette position.
Quelle sente l'humiliation d'être ainsi.
Qu'elle prenne conscience qu'elle est exposée, que ses intimités sont toutes 3 accessibles comme bon me semble et ainsi, pouvoir l'utiliser comme un vulgaire objet de plaisir.
Je caresse, effleure, ses chevilles, elle sursaute, continue et l'effleurer, ses mollets, ses cuisses, l'intérieure de ses cuisses, passe mon doigt des bas à la peau nue, continue et passe un doigt entre ses seins, caressent la peau nue de ceux-ci par le décolleté généreux de la robe de soubrette.
J'insère un doigt entre ses lèvres et lui donne l'ordre de le sucer.
Avec mon autre main, je tiens ses cheveux pour accentuer le côté domination.
Le fait de tenir ses cheveux et ainsi me permettre d'opérer une certaine pression physique et psychologique, une façon de lui faire prendre conscience que ce doigt peut être également un pénis virtuel et que par cette main qui tient ses cheveux, une façon de contrôler profondeur et rythme de la fellation pour l'utiliser comme objet de plaisir.
Je prends une de mes cordes et lui ordonne de joindre les mains.
J'attache celles-ci entre elles.
Je prends une autre corde et prends ses chevilles pour bien les plaquer l'une contre l'autre fait deux tours autour de ses cuisses pour exercer une sensation de soumission supplémentaire, tire la corde vers ses poignets pour relier le tout et l’empêche de bouger, ses chevilles contraintes, ses cuisses, ses poignets, un assemblage qui ne permet pas n'y de bouger les bras, n'y de bouger les jambes elle gémit, elle aime si fortement être encordée, attachée, contrainte, offerte et que seul le Maître puisse la libérer, être à lui.
Les mains attachées, les chevilles liées, les cuisses bien serrées, elle est là à quatre pattes sur cette table de salon.

Ce joli postérieur ainsi exposé, offert par cette pose des plus indécente, me donne l'envie de le chauffer, de rougeoyer.

Je commence quelques fessées sur ce postérieur tendues, offert, elle sursaute, crie, tente de bouger, mais, sur cette petite table étroite, les mains et les chevilles contrainte par mes cordes, elle ne peut que subir les plaisirs d'être ainsi fessées et commence à passer des cris à des gémissements qui ne laisse aucun doute sur l'impact de ces fessées sur son mental et les plaisirs qui en découlent.
Je profite de ce moment pour lui bander les yeux, ce qui provoque une vague de frissons sur son corps.
Je lui prends la bouche avec mon pénis et, avec de virile va & vient, empli celle-ci.
Elle gémit, suce elle-même mon pénis avec fougue et ferveur.
Tout en prenant sa bouche, l'utilise pour mes plaisirs, mais, les siens également cela s'entend, lui cravache le dos, les fesses sans coup fort, pour marquer la soumission que représente cet acte et, sans plus attendre, provoque chez elle, des gémissements des plaisirs intenses.
Ce spectacle, ces sensations, ces ressentis, ces plaisirs multipliés par ma soumise très en forme et excitée, me donne l'occasion de lui remplir la gorge de ma semence.
Elle en avale une partie, l'autre débordant de ses lèvres, elle se sent souillée, dominée, utilisée et donc fière et heureuse d'être l'objet de plaisir de son Maître.
Elle lèche bien le sperme qui est encore sur ses lèvres, ses joues, son menton.
Je prends un bâillon et lui insert énergiquement dans la bouche et verrouille celui-ci virilement au niveau de la nuque.
Elle gémit, ses fesses bougent comme un appel au mâle, elle bave rapidement et son intimité s'ouvre et s'humidifie, prête à être utilisée, désirant être utilisée.
Mais pourquoi la pénétrer à ce moment alors qu'il y a t'en à faire pour la posséder avec mes jouets vibrants et posséder ses orgasmes, être le pilote, l'instigateur de ceux-ci.
La pousser dans ses derniers retranchements, faire en sorte qu'elle soit en overdose de plaisirs, ne plus lui permettre de contrôler quoi que soit, ne pas lui permettre de contrôler son corps, ses plaisirs, ses orgasmes, être a l'intérieure d'elle et contrôler son esprit, son subconscient pour lui permettre d'atteindre le lâcher prise totale et ainsi m'appartenir en totalité comme seule une soumise aux mains de son Maître peut appartenir à celui-ci.
Je prends la coqueluche de ces dames, le magic Wang, ce jouet vibrant qui rends la plus frigide des femmes accros aux plaisirs.
Je retire légèrement le tissu de la robe qui couvre ses seins et effleure avec le magic wand ses tétons.
Elle réagit aussitôt et gémit, sa respiration s'accélère, elle bave beaucoup plus à travers son bâillon.
Je promène quelques instants mon appareil d'un sein à l'autre, d'un téton à l'autre et la magie opère.
Je retire mon jouet pour le diriger sur mon autre jouet, effleure ses grandes lèvres, elle sursaute d'un coup, crie dans son bâillon, tremble des cuisses.
J'insiste un peu plus en collant le magic Wang plus sur son intimité bien largement ouverte et très mouillé et la encore, elle tente de se libérer de cet insupportable plaisir qu'elle ne maîtrise pas puis, revient coller son vagin sur la boule vibrante et repart pour une série de gémissement de plus en plus puissant.
Je commence à promener le magic Wang sur son clitoris, reviens vers ses grandes lèvres, passent par son petit trou, puis repart vers son clitoris, écartent ses grandes lèvres et insèrent encore plus profondément pour un meilleur contacte celui-ci sur les muqueuses et là, son premier orgasme, puissant, fort, pleinement vécu par son corps tout entier, son esprit, son être.
Je ne la laisse pas refroidir et insert 1 doigt tout en continuent de la stimuler avec mon jouet.
Quelque va-et-vient avec mon doigt, quelque mouvement du clitoris à l'anus et c'est le deuxième orgasme qui explose.
Il est hors de question que j'arrête si prêt du but et veux encore la soumettre à mes plaisirs forcés et, sans crier gare, insert 3 doigts dans son vagin trempé qui accepte par l'excitation ses 2 doigts supplémentaires.
Jouent avec mes doigts, fouillant ses entrailles, promènent mon jouet sur son clitoris, elle est en overdose et hurle ses plaisirs ne peuvent plus contrôler quoi que ce soit et, un troisième orgasme fulgurant se fait entendre étouffer par le bâillon.

Je me dépêche de lui retirer le bâillon, pose le magic wand et la pénètre d'un coup de mon pénis en érection et la lime littéralement.
Toute en la pénétrant par des va-et-vient virils, je lui claque fermement les fesses et le résultat ne se faut pas attendre, un quatrième orgasme et la vessie qui se lâche, elle hurle comme jamais, réveillent tout le cartier, ne peux plus s'arrêter, elle hurle, crie, sursaute, spams, non, oui encore Maître, crie, hurle, elle est en transe et ne contrôle plus rien et moi le Maître, je la contrôle totalement.
Je sens l'éjaculation arriver, me retire, me dirige vers elle et lui ordonne d'ouvrir la bouche et me vide en elle avec, je l'avoue, trois jours de stock et de bon nombre de lettres d'eau pour être sûr d'avoir beaucoup de semences et bien lui remplir la gorge.
Je me retire de sa bouche au moment où il m'en reste encore et éjacule le reste sur son visage.

Encore contrainte par mes cordes, mon sperme sur le visage, elle baisse la tête et reprend ses esprits
Je lui retire les cordes, la libérant de ses contraintes. La prends dans mes bras et, ainsi partager un moment de douceur et d'apaisement pour lui permet de reprendre ses esprits, son souffle, sa respiration et que le tremblement de ses membres s'arrête.
Une fois apaisées, nous échangeons sur cette séance qui a été pour elle extraordinaire et à la fois tellement forte qu'elle à failli tomber dans les pommes à un moment, car, c'est tellement fort, mais fort que c'est compliqué de gérer presque aussi puissant qu'un accouchement m'a telle dit.
Une bonne heure après ces échanges, ce moment d'apaisement et comme toujours de complicité et de partage de sensations, de ressenti, il est temps de nous quitter dans l'attente d'une prochaine séance, d'une prochaine limite à dépasser comme aujourd'hui.
Avant cette séparation, un dernier ordre, interdiction pour elle de se nettoyer le visage et ainsi, laisser mon sperme sécher sur sa peau, son visage, pour une fois rentrer chez elle, avoir encore ma présence, mon autorité, ma domination, tout ce qui l'a fait vibrer en t'en que soumise.
Voilà cette séance terminée, j'espère que celle-ci vous a plu et vous a fait voyager dans mon monde BDSM.
Mesdames, je suis à votre écoute et peux réaliser, organiser votre initiation, éducation, dressage, réaliser vos fantasmes que vous soyez seules ou accompagnées, il ne faut pas hésiter, la vie est courte et, plus vous hésitez, plus votre horloge biologique avance et un jour, il est trop tard.
Belle journée à vous, bien cordialement Me Bernard
Pour me contacter cliquer :
Suite de la visite :
Pour revenir à la page précédente :
Pour revenir à la page d’accueil :
Visiter le donjon en images et vidéos :
Comments