Bonjour à toutes mes lectrices et à vous Messieurs candaulistes, cockolds,
J’espère que vous allez bien.
Après l’avoir contrainte en croix, t’elle une esclave que l’on punis de ses fautes, après l’avoir stimulée intimement, l’avoir fessée, cravachée, fouettée, la voici contrainte, encordée, offerte sur ce beau fauteuil ou son corps, son intimité de femme, de soumise est offerte à la vue et à portée de mains et de tout objets de plaisirs qui fera d’elle, une esclave heureuse de servir son Maître mais, ne soyons pas hypocrite, pour les plaisirs orgasmiques que cela va lui procurer.
Les poignets liés entre eux et bloqués sur le pourtour du dossier du fauteuil, les chevilles liées de part et d’autre avec mes jolies cordes rouges, l’a voilà à ma merci, prête à s’offrir corps et âme à son Maître et le laisser faire d’elle se qu’il lui plaît.
Dans la contrainte des cordes, dans l’obscurité de son masque, elle attend le bon plaisir de son Maître.
Je viens vers elle, lui glisse à l’oreille que je vais l’utiliser comme on utilise une esclave, que je vais abuser d’elle, que son intimité n’auras plus de secret pour moi et que je vais contrôler son corps, son esprit son âme à la rendre folle et de ne pouvoir contrôler toute ces sensations, ces ressenties et plaisirs intenses qui vont lui traverser la totalité de son être.
Je commence par la caresser, ses fesses, son ventre, ses seins, le creux de son intimité, mon doigt s’immiscent au porte de sa féminité, titillent ses tétons et en même temps, exécutant des va & vient entre ses grandes lèvres.
Les premiers gémissements se font entendre, son corps se crispe, ses tétons se durcissent là, je commence le doux et excitent mélange des caresses et des fessées sur son fessier rebondie et accueillant.
Les gémissements s’accélèrent avec les fesses qui se colorent, qui chauffent, qui dansent sur l’effet de mes fessées.
Je passe d’une fesse à l’autre pour pas qu’l y est de jalouses, toute en caressent ses seins, son clitoris, son vagin, insert un doigt et doucement commence à mixer fessées et pénétration.
Plus je m’immisce en profondeur dans son intimité, plus je claque fortement sur ses fesses, elle n’en peut plus, son corps se cambre, ses doigts se tendent sous l’effet des plaisirs reçus, des spams apparaissent sous l’effet orgasmique, jouissif de ces actions qu’aucune femme ne peut supporter et, d’un cou, l’orgasme se fait entendre.
Elle est à moi, elle m’appartient, je suis son Maître et c’est moi le propriétaire de son corps mais surtout de son être.
La voilà bien chaude, à point, je recule et prends mon fouet, l’objet quelle préféré sentir sur son corps qui, une fois terminé, sera zébré par mon action et une fois partie, sera fière et heureuse de regarder dans le miroir de sa chambre, les traces de sa soumissions, de son esclavage qui est, son souhait le plus puissant.
Fière et heureuse de porter les traces de son Maître jusqu’au lendemain ou, malheureusement, elles auront disparues.
Une fois bien essoufflée par la séance de fouet, essoufflée par la jouissance reçue, par les ressenties intenses et très puissants qui ont mis tout son être en overdose de plaisirs, je la laisse un instant reprendre ses esprits.
Une petite vidéo de cette séance de fouet chères lectrices et lecteurs ?
Je viens vers elle, lui parle doucement à l’oreille, lui fait entendre des mots crûs, des mots cachant à peine la suite de son dressage, de son utilisation, de sa soumission, des mots qui touche au plus profond elle, son bonheur d’être à ce point esclave.
Juste derrière elle, promenant ma main sur la totalité de son corps, maltraitant ses seins en les saisissants fermement, fessent avec vigueur son fessier, je saisie un god vibrant, demande à son époux de le lubrifier avec un produit adéquate et, commence à titiller l’entrée de son intimité, glissent entre ses grandes lèvres, glissant sur son clitoris et, petit à petit, commence à la pénétrer.
Des va & viens lent vont de pair avec les gémissements qui s’intensifie, je pénètre encore plus avec ce jouet et son corps tout entier réagis de plus belle.
J’intensifie la pénétration, les va & viens, accéléré et c’est un orgasme qui se fait entende.
Je double le rythme pour, qu’elle subisse le moment insupportable de l’orgasme forcé ou, elle n’est plus maître de son corps, plus la propriétaire de son esprit, de son âme et, que je suis le seul à être au commande de ses plaisirs qui, à ce moment précis, sont d’une puissance que bien des femmes fantasment mais, ne connaissent pas à ce jour.
En complète overdose de plaisirs, dans l’impossibilité de les contrôler, c’est moi son Maître qui dirige, organise, orchestre ses orgasmes et je suis le seul à pouvoir arrêter se supplice qui est en fait un supplice de plaisirsssss.
Une petite vidéo de cette séance d'orgasmes forcés cher lectrices et lecteurs ?
Ses fesses et son dos marqués par cette séance, elle est magnifique ainsi offerte corps et âme à son Maître et Propriétaire.
Épuisée par la séance, toute tremblante, toute mouillée, je la libère de mes cordes, la prends dans mes bras, l’assoie dans le fauteuil et la laisse reprendre ses esprits.
Les joues aussi rouge que son postérieure, souriante des sensations intenses qui envahissent encore la totalité de son être.
Voilà c’est la fin de ce deuxième opus, je sais, je sais c’est déjà finis mais, je reviendrai bientôt avec la suite de cette séance.
Je vous souhaite une bonne lecture, des beaux fantasmes et je le sais Mesdames, des plaisirs solitaires qui mériterais d’être intensifiés par une séance personnifiée.
Bien cordialement Maître Bernard.
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