Bonjour à toutes et à tous,
J’espère que vous allez bien et que vos fantasmes, vos envies de soumissions Mesdames ne resterons pas virtuels et, pour vous Messieurs, voir enfin votre Femme, épouse, concubine réaliser devant vous où, vous en faire part une fois rentrée, sa véritable nature et ainsi, servir un Maître, découvrir les ressenties, les sensations, les plaisirs intenses d’être soumise, utilisée, découvrir l’intense moment d’être contrainte par des cordes, sur un meuble BDSM, vivre et laisser vivre celle qui sommeille en vous et vous libérer, être vous.
Esclave est de retour :
Après pratiquement un an d’absence, esclave est de retour avec son époux.
Nous nous connaissons bien, voir sur mon blog : rencontre d’un jour en trois actes.
J’étais à la recherche d’une soumise pour tester mes nouveaux fouets de cuir, de véritables fouets, pas de modèles d’opérette pour débutante qui, sans nul doute, auras l’envie de découvrir son contacte sur sa peau, son âme un jour ou l’autre.
J’ai donc proposé à mes deux complices une séance basée sur les délices intenses et orgasmiques des accessoires BDSM de contact corporel.
Son époux, et elle-même très motivée par cette proposition acceptent volontiers cette invitation à ‘roder’ mes nouveaux fouets sur le cuir de cette soumise.
Pour cette séance c’est moi qui me suis déplacé chez eux, ils m’ont invité gentiment à leur domicile et je les en remercie.
Reçu avec gentillesse et complicité, l’époux d’esclave est toujours aussi sympathique et heureux de vivre lui aussi cette séance même si, dans son cas, seul l’observation, la photographie, voir son épouse utilisée, prise, dominée, heureuse d’être à sa place et ses plaisirs.
Il va la chercher dans la pièce qui est juste à côté de leur salon, là où la séance va se dérouler.
Le temps de lui poser le bandeau sur ses yeux, étant son désir de ne pas me voir et de ne pas savoir mes envies à l’avance de faire d’elle ce que bon me semble, n’est-elle pas ma chose, mon jouet, ma chose ?
Elle entre dans la pièce, habillée comme j’aime, elle connaît mes goûts vestimentaires pour la gent féminine. C’est également une dévotion que j’apprécie beaucoup, se préparer, se vêtir comme le Maître aime, veut et un devoir pour une soumise, une esclave mais également un plaisir pour elle car, elle se sent encore plus être sa chose, soumise, offerte et heureuse d’être à lui corps et âme.
Un joli gilet en dentelle qui laisse apparaitre la naissance de sa poitrine, une jupe courte qui cache juste ce qu’il faut pour ne pas voir la frontière de ses bas porte-jarretelles, des talons hauts et fins, son collier de chienne autour du cou, maquillée elle s’offre à moi….
Je viens vers elle, lui glisse des mots doucement à l’oreille et ainsi la prépare psychologiquement à la suite de la séance.
La touche, la caresse, lui saisir les poignets, les glissent dans son dos, la tenant fermement, pour faire monter la pression et ainsi, lui permettre de se sentir offerte, dominée et pouvoir se libérer, s’abandonner, lâcher prise.
Je la déshabille, lui ôte le hauts et ses seins ainsi libérés pointent à la lumière et visuellement déjà excités.
Je fais glisser la fermeture éclair de sa jupe, déboutonne le petit bouton qui retient celle-ci et, la fait glisser sur ses chevilles.
Le buste nu, en bas porte-jarretelles et talons avec, et elle va être punis pour cela, une petite culotte que je m’empresse d’ôter, c’est indigne d’une soumise mais, encore plus d’une esclave, oublie ou provocation pour, être sûre d’être punis et ainsi jouir de cette punition ??
Je prends dans mon sac, les bracelets en acier inoxydables et lui met sur ses poignets, verrouille ceux-ci avec la fermeture par serrures. Fait de même avec les bracelets de chevilles.
Ainsi esclave à juste titre avec ces contraintes de métal, je prends des cordes dans mon sac et commence à la contraindre écartelée entre les gonds de l'huisserie qui sépare le couloir du salon.
Exposée, offerte, contrainte, elle est là, dans l’attente de mon bon vouloir.
Je viens vers elle, commence à la caresser, les seins, le ventre, le dos, les fesses, passe très furtivement sur son intimité et, d’un geste précis et franc, commence à lui fesser son postérieur rebondi et très féminin.
Les premiers émois apparaissent sur son corps, sa peau, son esprit, son âme d’esclave.
La température monte, la chaleur sur ses fesses également comme la coloration très esthétique de ses fesses, de sa peau.
Une fois bien fessée, chauffée, je prends un martinet et commence une flagellation plus marquante mais pour elle, bien plus excitante, jouissive.
Après bon nombre de coups tous plus jouissifs pour elle, pour son époux, pour moi. Après la couleur rose, orangée, rouge de ses fesses, laissent entendre des gémissements, des cris de jouissance, un corps en trance, je prends la cravache et ainsi, pour faire monter encore plus la pression mais également les plaisirs de ce trio complice, je commence par passer la cravache sur son corps, entre ses jambes, sur ses seins, et sans crier gare, fait tomber cet accessoire magique sur ce fessier déjà bien marqué par mes nombreuses interventions.
Complétement en overdose de plaisir, de sensations intenses, de ressenties qui envahissent tout son être, elle est toute à moi, prête à se donner à moi toute entière et sans limite, faire d’elle ce que je veux et la pousser encore plus loin, plus profondément de tout son être et ainsi, qu’elle m’appartienne sans limite.
Je viens à nouveau tout contre elle, glisse des mots ordonnateurs à son oreille, lui dis qui elle est, dis ce que je vais faire d’elle, lui fais comprendre sa place, qu’elle n’est qu’un objet de plaisir dans mes mains.
Je lui insert un doigt dans la bouche et lui ordonne de la sucer, de bien le mouiller tout en lui claquant une main sur son fessier.
Mon doigt bien mouillé, je commence par caresser son intimité avec celui-ci et petit à petit, m’insert entre ses grandes lèvres, effectue des va-et-vient entre celles-ci, titille son clitoris.
Ainsi offerte, écartelée, dans le noir de son bandeau, elle subit les insupportables passages de ce doigt sur son intimité qui, de toute évidence et elle le sait, va la pénétrer et fouiller ses entailles et la rendre folle, chauffée par mes mains, mon martinet, ma cravache pour dompter cette jument.
Les gémissements se transforment en cris, en spasmes, elle est prête.
J’arrête et lui glisse à l’oreille que cette fois, finis les jouets, veux-tu que ton Maître, ton propriétaire, de fouette réellement avec un véritable fouet de cuir mais pas un jouet.
Elle me répond oui, je suis à vous Maître, faite de moi ce que bon vous semble, je suis votre chose, votre objet, votre esclave et vous pouvez faire de moi ce que vous voulez, fouettez-moi, faite de moi ce que je suis, que je ressente, que je sois heureuse de vous servir et de donner du plaisir à mon époux de me voir ainsi.
Je me recule, prends mon fouet, et commence gentiment à lui ‘lécher’ le corps avec le bout du fouet.
Elle sursaute, tente de bouger, tire sur ses liens mais, rien ne pourra lui éviter de recevoir ce qu’en fait, elle ne voudrait en aucun cas rater.
Le bout du fouet entour sa taille et viens cingler ses fesses, le bas de ses reins, son dos, elle gémit, ses gémissements se transforment petit à petit en cris de plaisirs.
J’alterne maintenant avec son ventre, ses cuisses, ses seins, côté pile, côté face, alternent les coups secs et les coups doux et, le but à atteindre, elle jouit discrètement pour respecter l’ordre que je lui ai donné, c’est moi qui lui donnerai l’autorisation de prendre du plaisir, je contrôle son corps mais aussi son esprit et au plus profond elle, son âme.
Une fois bien marquée, bien zébrée, je viens prêt d’elle, la caresse, la stimule avec mes doigts, avec un jouet vibrant, avec une sinner gear et passe tranquillement sur les zones très sensibles de sa féminité.
Je prends des pinces à tétons avec chainette et pose celles-ci sur ses seins.
Elle grimace, tente de tirer sur ses liens mais, rien n'y fait, elle est moi et je fais d’elle ce qui me plaît mais, tout en sachant, que cela lui plaît beaucoup également.
Avec cette chainette qui endolorie ses tétons, qui pends entre ses seins, il est temps de lui donner d’autres plaisirs, d’autres sensations et, le ressentie de ne plus s’appartenir mais bien être la chose du Maître qu’elle a choisie.
Je reprends mon fouet, me positionne et commence par un petit retour en arrière.
Je fouette ses fesses et fait en sorte que le fouet entour bien ses hanches, son buste et qu’elle ressente bien la place qui est la sienne.
Bien rougie, très chaude, ses fesses meurtries par le fouet son magnifiques et, quand je ne serais plus là, cette cuisante expérience va l’accompagner quelques jours.
Me voici prêt à lui faire vivre des sensations uniques et orgasmique, je commence par lui fouetter le ventre et le coup d’après lui fouette les seins mordillés déjà par les pinces.
Elle cris, la chainette bouge comme une balançoire, après une petite pose, je reprends fouette à nouveau ses seins et là, les plaisirs mêlés avec la douleur fait apparaitre un orgasme.
Cette fois elle est vraiment à moi, ma chose, mon jouet, mon objet, mon esclave.
Une petite vidéo pour vivre avec nous cette séance avec esclave et mon fouet ?
Cliquez sur ce lien :
J’espère que ce premier opus vous a plu, dans les prochaines parutions :
Contrainte sur un fauteuil, fouet et stimulation vaginale avec jouet vibrant.
Servir et s’offrir à son Maître, effectuer son devoir.
Séance repos et zénitude avec une séance de Bondage / Shibari.
Mesdames n’hésitez pas à me contacter, je suis là pour réaliser vos fantasmes de soumissions et ainsi, à votre rythme, révéler la soumise qui sommeille en vous, vous libérer dans les contraintes, vos contrainte, vos fantasmes.
Pour les couples, Monsieur candauliste, Madame fantasment de soumission dans un véritable donjon avec un Maître expérimenté qui sauras et cela sans prétention vous accompagner vers votre destiner.
Merci de votre lecture, belle journée attachante.
Bien cordialement Maître Bernard
Pour me contacter cliquer :
Si vous avez aimé(e) cliquer sur le cœur :
Suite de la visite :
Pour revenir à la page précédente :
Pour revenir à la page d’accueil :
Visiter le donjon en images & vidéos :
Comments