Esclave et la découverte du Shibari, du Bondage extrêmement contraignant :
Ce jour j’ai décidé de contraindre mon esclave de façon forte et contraignante et ainsi, lui faire découvrir, ressentir que d’être extrêmement contrainte par des cordes, mes cordes, dans l’impossibilité total de ne pouvoir bouger, d’être à moi comme un objet de décoration, une chose, devoir obéir, subir mes envies, mes gouts et, d’attendre mon bon plaisir à la libérer est, avant tout, être à moi quel que soit la façon d’on je vais l’utiliser pour mes plaisirs et donc en toute logique pour ses plaisirs étant, de par sa position, heureuse et comblée de me servir et d’être mon objet, ma chose, mon esclave.
Je commence toujours par le buste car, je sais par expérience que lorsque je contraindrai son intimité qui en somme n’est plus la sienne, les cuisses, les mollets, les chevilles, l’effet est tout autre car, dans l’impossibilité de bouger les bras, les mains, de se sentir encore plus impuissante, de se sentir encore plus soumise ne peut qu’en toute logique mais aussi par expérience offrir des ressenties, des sensations, des plaisirs bien plus forts pour celles qui aiment être dominées, objet, chose, soumise, esclave aux Maître à qui elles a choisie de s’offrir corps et âme.
Je sers fermement la corde autour de ses bras, poignets, buste, épaules, seins, très fermement pour bien que son esprit, son subconscient prennent conscience de sa soumise et du fait qu’elle n’est plus à elle mais à moi.
Ce sentiment d’être à l’autre est très puissant chez la soumise et il est de ma passion de lui procurer cela.

Dans l’obscurité de son bandeau, dans la soumission totale de mes cordes, elle est prête à continuer, à accentuer sa soumission et saliver d’être à ce point contrainte de façon extrême voir inconfortable car le but est de m’appartenir et de sentir cette appartenance de façon marquante sur sa peau, son corps, son esprit et son subconscient.

Une corde placée autour de son buste pénètre son sexe, entrant très fortement dans son vagin pour bien marquer que même à cet endroit, tout est à moi et que rien ne lui appartient désormais.
Cette corde qui pénètre de cette façon son intimité ne la laissant pas indifférente et, des gémissements se font entendre.
Je tire bien sur la corde pour que celle-ci rentre encore plus entre ses grandes lèvres, pénètre plus en profond et, fait bouger la corde pour créer une forme de va & vient et ainsi lui faire prendre conscience que même avec mes cordes, je la possède et qu’elle n’est que mon esclave et rien d’autre.

Je prends une longue corde et commence par le haut de ses cuisses et ainsi, contraint la totalité de ses jambes.
Les cuisses, les mollets, les chevilles et, les ressenties, sensations, plaisirs qu’elle ressent à ce moment sont palpable comme discrètement sonore.
Une soumise qui est contrainte petit à petit par son Maître, tour de corde, après tour de corde, ne peut que se sentir offerte et dominée et c’est pour elle un pur moment de bonheur.

Je la prends dans mes bras sans prévenir pour marquer son esprit et que celui-ci comprenne qu’elle est à moi et que j’en dispose comme bon me semble.
Je l’allonge sur la petite table du salon ou, posée sur le ventre, les seins bien compressés par la table mais également par mes cordes, elle ressent bien se sentiment d’être ma chose, mon objet et comme toute bonne soumise, c’est ce qu’elle recherche à vivre.
Je prends une corde, relie très fermement ses chevilles à la corde qui contraint ses bras, tire vraiment très fortement pour exercer une forte pression sur les cordes et obligent l’esclave à courber le buste et ainsi, ne lui permet plus de bouger.

Cette contrainte ne permet plus à l’esclave de bouger quoi que ce soit, elle est obligée d’attendre soumise et offerte mon bon plaisir.

Avec son candauliste d’époux, nous prenons beaucoup de photos, il a l’aire d’aimer, d’apprécie mon œuvre sur mon esclave qu’il m’a offert pour faire d’elle une soumise, mais aussi une chienne, une esclave, à mon service, sans limite et qu’elle m’obéir corps et âme.
Son seul et unique devoir, servir son Maître et propriétaire en, si il le faut, passer ses plaisirs en second plan, le Maître et rien que le Maître, voilà son devoir sa mission.

Cela était la dernière séance avec esclave, la distance kilométrique qui nous sépare, des désaccords entre elle est moi sur notre vison de la soumission, ses devoirs qu’elle n’a pas comprise, le fait qu’elle est trop changeante dans son esprit, son subconscient, son engagement et devoir envers son Maître a fait que l’arrêt de son éducation, dressage était inévitable.
J’avoue que ce qui va me manquer le plus, c’est son candauliste d’époux avec qui je m’entends très bien, cette complicité, cette confiance, ce respect mutuel est rare à notre époque et il va me manquer plus qu’esclave qui est plus facile à remplacer.
Je vous remercie de votre lecture, de vos commentaires et vous invite à cliquer sur le cœur pour me signaler que vous avez aimés et faire avancer ce modeste blog.
Bien cordialement Maître Bernard
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