Bonjour à toutes et à tous, heureux de vous retrouver.
J’espère que vous avez passés de bonne fêtes de fin d’année avec de bien beaux cadeaux, cordes, cravache, menottes, bâillon et j’en passe, peut-être des meilleurs pour vous (sourire)….
C’est avec du retard que je publie cette séance, les fêtes, la reprise du travail, la disponibilité de chacun, pas toujours simple mais malgré votre impatience pour ceux qui m’ont écrit, voici ma dernière séance.
Après avoir fait découvrir à Béa les sensations d’être contrainte avec bracelet aux poignets et chevilles, bâillon et bandeau, collier et laisse.
Lui avoir faire d’couvrir les ressenties d’être contrainte avec des cordes, bâillons, bandeau, et se sentir offerte, dominée, chose, jouet, objet.
Cette fois je l’initie aux plaisirs d’être contrainte par des sangles de cuir.
L’odeur du cuir qui envahie autant ses sens que son esprit, son subconscient et ainsi de la laisser voyager dans ses fantasmes et lui permettre d’atteindre son lâcher prise, d’avoir des plaisirs qui lui envahissent la totalité de son être.
Je la plonge dans le noir en couvrent ses yeux pour lui permettre de s’immerger au plus profond de son subconscient.
Je la déshabille doucement, très doucement, bouton après bouton, fermeture éclair, agrafe, jarretières, bas, laissent tomber sur le sol ses vêtements et ainsi doucement l’effeuillée avec juste à ses pieds, la féminité des talons haut pour seule vêtement.
Je prends ses mains et les placent le long de son corps, au niveau de ses hanches tout en lui effleurent sa peau nue.
Je prends la première lanière, celle la plus longue et contraint ses bras, au-dessus de sa poitrine ou, je constate que ses tétons sont déjà bien dressés.
Je prends une autre lanière de même longueur et place celle-ci sous la poitrine, l’effet escompté commence à être visible, la respiration s’accélère, sa peau se couvre de chair de poule, ses cuisses se resserrent, se frottent l’une contre l’autre, signe qu’une femme, qu’une soumise commence à ressentir de l’excitation, du plaisir.
Je prends une troisième lanière et place celle-ci sur ses hanches, contraignaient du même coup ses avants bras et positionne ses deux mains devant son intimité.
Je prends un temps de pose, promenant mes mains sur son ventre, remontent très lentement vers ses seins, passe furtivement sur ses tétons les effleurent à peine et provoquant aussi bien un soubresaut que des moments de plaisirs marqués par un corps qui s’exprime, aussi bien visuel que de façon sonore, la douce mélodie encore presque inaudible d’une femme, d’une soumise qui commence à percevoir, à ressentir les doux moments d’être contrainte, offerte à celui à qui elle donne sa confiance et ainsi de ne plus s’appartenir.
Je prends une nouvelle lanière, celle-ci est très courte, spécifique à la contrainte des poignets et d’un geste précis et rapide, contraint ceux-ci en serrent bien pour ne pas leurs permettent aux poignets de glisser hors de cette lanière.
Celle lanière supplémentaire qui augmente considérablement la sensation, le ressentie et donc, en toute logique les plaisirs d’une soumise rêvent, fantasment, d’être ‘attachée’ et de pouvoir jouir de cette situation d’abandon, d’être à lui, sans pénétration, sans sexe, juste par la situation et bien sûr les images que je pense, pas toujours saintes qui lui traversent l’esprit.
La voici toute à moi de par son buste lié, toute à moi par son offrande, son abandon et je sais, cela par expérience que les idées, les fantasmes, les envies qui lui traversent l’esprit à ce moment, lui permette de trouver des plaisirs humides.
C’est le moment opportun je trouve pour accentuer ses plaisirs, ses sensations, ses ressenties et la plonger dans un état second, lui permettent de s’évader dans les contrées lointaines de son imagination qui, je ne doute pas un instant, sont des plus érotiques voir inavouable mais, cela c’est son secret que je lui laisse vivre et un jour peut être partagé avec moi……
Je prends un bâillon boule, insert celle-ci entre ses lèvres, passe les lanières derrière sa tête et, verrouille fermement celles-ci de façon à ce que la boule rentre bien dans sa bouche et effectue sa tâche de domination.
Contrainte par mes lanières de cuir, privée de la vue, privée de la parole, ma soumise est toute à moi.
Pour elle ainsi contrainte, n’être que le jouet, l’objet du Maître et jouir de cette situation.
Je prends une autre lanière de cuir, contraint ses cuisses, juste avant ses genoux, verrouille celle-ci pour bien contraindre les cuisses l’une contre l’autre.
Je prends une autre lanière de ce cuir qui sent si bon et, contraint fermement ses jambes juste en dessous de ses genoux pour bien lui permettre de sentir son abandon comme mon emprise.
A nouveau, je prends la dernière lanière de cet ensemble et passe autour de ses chevilles, si fines, si féminine et contraint fermement celles-ci.

L’instant magique ne se fait pas attendre, elle gémit, bouge de façon très érotique, sa respiration s’emballe.
Je la laisse s’imbiber de ce moment, de cette contrainte qui, petit à petit envahie son esprit, son subconscient, son âme de soumise heureuse d’être à ce point dominée.
Je ne vais pas la toucher sexuellement, je vais la laisser ainsi faire son propre voyage, juste la regarder, l’admirer ainsi soumise à elle-même.
Je l’ai regardé pendant 2h 30, gesticulant, mouillant de la bouche mais pas seulement à voir les draps, gémissent, tentant de se libérer toute en croisant les doigts de ne pas y arriver et de continuer à vivre ce moment des plus intense et de m’appartenir sans pénétration, que par la pensée, le subconscient.

Au bout de ces 2h 30, je viens vers elle et lui glisse à l’oreille : tu as jouis ?
Elle hoche de la tête pour me dire oui.
Tu veux que je te libère ?
Elle me répond en hochent de la tête d’un oui pas si franc que cela en fait, serait-elle si heureuse d’être ainsi contrainte, dominée quelle se refuse d'être libre ? Quand pensez-vous ?
Je défais les lanières les unes après les autres, doucement, très doucement pour bien lui faire prendre conscience que c’est toujours moi le Maître de ses plaisirs et qu’elle m’appartient.
Toute en transpiration sur la totalité de son corps, des gouttes de sueur causées par les contraintes des plus serrée, essoufflée, excitée, la voilà libre de ses contraintes de cuir mais épuisée.
Toujours dans l’obscurité, toujours bâillonnée, je retire celui-ci de sa bouche avec cette bave des plus sexy qui coule.
Je tends ma main pour lui retirer le bandeau et là, aveuglée par la lumière, elle me sourit, ses joues rouges des plaisirs reçus la trahissent.
Elle se blottie contre moi et d’une voie encore un peu tremblante me dit, merci mon Maître, ces sensations était des plus jouissive, j’aime quand vous m’attachez, je me sens à vous, votre chose, votre jouet et j’aime cela, cela me fait des choses dans mon ventre, dans mon cœur, dans ma tête et je sais que nous avons eu des plaisirs commun, et cela j’en suis heureuse.
Voilà, la séance est terminée, quand pensez-vous ? Voulez-vous vivre une telle expérience ?
Mesdames le BDSM n’est pas forcément lié au sexe, je pratique bon nombre de séances ou je ne fais qu’initier ces dames aux plaisirs intenses du Bondage, du Shibari.
C’est les cordes qui abuse de votre corps, de votre esprit, de votre subconscient voir de votre âme, je ne suis que l’instrument de vos plaisirs d’être contraintes et de vous sentir offerte, dominée mais, les cordes abusent elles vraiment de vous ? Étant donné que vous le fantasmez, le souhaitées, le désirées ?
La vie est courte, je sais que bon nombre de vous mesdames fantasme de vivre une t’elle expérience alors, pourquoi vous en priver ?
Je suis à votre écoute, disponible pour répondre à vos questions et je sais, qu’il y en a alors, vous avez juste à cliquer sur l’icône en forme d’enveloppe ci-dessous et ainsi enfin réaliser cette envie et tous les plaisirs qui en découlent.
A vous lire, bien cordialement Me Bernard.
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