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  • Maître Bernard

Béa fantasmes de soumission .

Bonjour à toutes et à tous, heureux de vous retrouver.

je vous présente Béatrice, Femme de 52 ans, mariée, mère de deux enfants qui, a toujours fantasmée d’être la soumise, la chose d’un Homme dominant, d’être à sa merci, offerte, impuissante, dans l’obligation de se laisser faire, d’obéir mais, après en avoir fait part à son époux qui, pour sa part ne comprends pas cette demande et n’y trouve aucun intérêt, Béatrice a décidé de prendre le taureau par les cornes et de trouver cet Homme même si celui-ci n’est pas le sien.

Nous avons échangé pendant 14 mois par mail, avons échangé par téléphone, avons déjeuné deux fois dans une brasserie et là, prête et déterminée, elle m’a demandé d’organiser sa séance, elle était prête à vivre enfin, après autant d’années, sa soumission fantasmée.

Elle m’a avoué avoir acheté un ensemble de cuir rouge, constitué des bracelets de poignets, bracelets de cheville, un lien en croix, un collier, une laisse, un bâillon.

Elle m’a avoué avoir déjà utilisé cette parure pour des essais en solo et la contrainte ressentie lui avait fait beaucoup d’effet.


Mettre le collier autour du cou, les bracelets autour des poignets, des chevilles, la laisse qui pend entre ses seins, le bâillon entre ses lèvres lui a procuré des picotements tout le long de sa colonne vertébrale et également à un endroit bien plus intime.

Sa demande était que cela soit moi qui luis mets cette parure, habillée d’une jupe, de bas porte- jarretelles avec coutures et petits nœuds, des escarpins à talons aiguilles, un gilet déboutonné à la limite de la naissance de sa poitrine.

Elle voulait découvrir une contrainte légère pour sa première fois mais intense quand même, qu’elle puisse se sentir offerte, impuissante, dans l’obligation d’être à cet Homme, ce Dominateur, ce Maître et ainsi s’abandonner mais, surtout dans le respect de son époux donc, sans sexe.

Elle fantasmait d’être ainsi contrainte, exposée, offerte à ses envies de soumissions, dans l’obscurité de son bandeau, dans l’impossibilité de bouger, de se libérer, de parler, offerte sans sexe mais offerte quand même, dominée avec son imagination qui l’emmène dans des contrées inavouables ou, son intimité de femme laisse exprimer ses pensées …

Le jour J, elle se présente à ma porte où époux et enfants ce jour-là étaient bien loin.

Devant ma  porte avec un sourire complice mais avec un soupçon de stress.

Nous nous assaillons sur le canapé du salon et prenons un moment pour détendre l’atmosphère.

Je lui demande si elle est toujours prête à vivre enfin son fantasme de soumission, d’offrande, de contrainte.

Elle me répond d’un oui qui ne laisse aucun doute planer.

Je sors le contrat de soumission de mon porte-document et ensemble le lis pour vérifier que chaque chose qui nous impute soit noir sur blanc et, chacun avec notre stylo, imposons nos signature et date pour officialiser cette association très personnelle même si nous savons l’un comme l’autre que celui-ci n’a aucune valeur légale, juste une valeur morale, juste entre nous et pour graver dans nos esprits, nos engagements réciproques.

Elle prend son stylo et signe Béa soumise avec un sourire en coin qui ne laisse aucune ambigüité à son désir de vivre  enfin, après autant d’années, sa séance de soumission.

Je lui demande de me donner son matériel, elle le sort d’un sac et me tend celui-ci.

D’une voie ferme et inquisitrice, je lui donne l’ordre de se mettre devant moi, ses cheveux tenus en l’air pour libérer son cou et me permettre d’y mettre son beau collier de cuir rouge.

Elle vient à moi, relevant ses cheveux, je pose le collier, me postent derrière elle et verrouillent celui-ci.

Là déjà, je vois frisson et tremblement, elle est émue et toute chose.

Je saisis sa main droite et lui pose le bracelet de poignet en positionnement bien celui-ci de façon à ce que l’anneau soit dirigé vers l’intérieur.

Je saisis la main gauche et fait de même avec l’autre poignet.

Elle touche le collier autour de son cou, regarde ses poignets habillés de ces bracelets en cuir rouge et me regarde avec un regard baissé, soumis…

Je lui donne l’ordre de s’assoir sur le canapé et de poser son escarpin gauche sur la table basse.

Sa cheville habillée de noir, le talon aiguille, Femme jusqu’au bout du pied.

Je prends le bracelet de cheville et entoure celle-ci, verrouille d’un geste ferme et autoritaire le bracelet sur sa cheville fine.

Je vois à son regard que la magie commence à opérer, son regard change, les sensations commencent à atteindre son esprit, son subconscient, cette Homme, ce Dominant, ce Maître qui touche sa cheville, contraint celle-ci plus par ce geste  symbolique que la faible contrainte elle-même mais, elle commence à sentir la domination, l’emprise de ce Maitre sur elle et, l’effet semble être apprécié.

Quand je saisis d’un geste précis mais ferme sa cheville droite,  je vois un certain rougissement gagner ses paupières, j’entends sa respiration s’accélérer, sa poitrine se gonfle légèrement à travers le décolleté créé par le gilet et le soutien-gorge balconnet.

Je lui intime l’ordre de se lever, une fois devant moi, ainsi parée, je lui pose la laisse et fait en sorte que celle-ci effleure sa peau nue au niveau du décolleté.

L’acier froid fait son office, la chair de poule apparait, un petit gémissement également, un petit air gêné mais heureuse de l’être.

Ainsi prête, je lui donne l’ordre de s’allonger sur la table de la salle à manger, les seins face à la table, la tête légèrement dans le vide.

Je saisis ses poignets et avec le croisillon de cuir, les solidarisent l’un à l’autre dans son dos.

Je prends d’un geste ferment ses chevilles et les dirigent vers sa colonne vertébrale et avec les deux attaches qu’il reste sur le croisillon de cuir,  Contraint ses chevilles à ses poignets.

Contrainte, offerte, impuissante, soumise enfin, elle est là sur cette table et vie enfin sa soumission si fortement fantasmée toutes ces années.

Je viens à sa hauteur, lui demande si elle va bien, si elle aime cette contrainte légère mais présente, palpable.

Elle me répond qu’elle est bien mais ne ressent rien  pour le moment de bien précis mais, se sent prête.

Je lui réponds que cela est normal, il faut que tout son être s’imbibe de la situation et qu’il faut un certain temps pour que la magie opère.

Je viens poser sur ses yeux, le bandeau qui va la plonger dans la plus totale immersion, l’immersion d’elle-même au qu’elle, je ne pourrais participer à mon grand regret.

Je pose la pulpe de mon doigt sur ses lèvres et lui ordonne d’ouvrir la bouche.

Là elle me demande avant que je la bâillonne, qu’au bout d’un moment où je l’aurai laissée seule dans sa découverte de ces contraintes, de sa soumission, de son offrande, de venir sans bruit toucher une cheville et remonter doucement jusqu’à la limite de ses bas et de sa peau nue, elle me dit qu’elle veut se sentir impuissante devant cette main étrangère et inquisitrice, qu’elle se sente offerte et sans défense ainsi contrainte et peut être dans l’obligation de subir ce que cette Homme a envie de faire d’elle.

Elle veut vivre cette détresse, vivre sa soumission et se sentir offerte, objet, jouet entre les mains expertes de ce Maître qui, dans l’absolu pourrait faire d’elle une esclave.

 

Je lui promets d’effectuer cette demande mais, quand bon me semble et de la façon que j’aurais choisie.

Elle me répond oui  Maître, abusez de moi, je suis votre chose, votre soumise, votre chienne.

Je lui insère le bâillon entre ses lèvres, verrouille fermement et très bien serré celui-ci dans son cou.

Un petit gémissement se laisse entendre.

La voilà entièrement à moi mais avant tout à sa soumission.


Béa fantasmes de soumission

Elle se débat, cherche à se libérer tout en prient qu’elle ne puisse, tirent sur ses poignets, sur ses chevilles en vain, impossible de bouger, de se libérer, la voilà soumise, offerte,  à la merci de cette Maître qui a tout instant peut abuser d’elle et l’utiliser comme un jouet, une esclave.

La salive coule de sa bouche, entre ses lèvres et la boule du bâillon, sa respiration s’emballent, ses jambes se serrent l’une contre l’autre, puis s’écartent, sa jupe se retrousse par ces mouvements, elle remonte et laisse apparaitre les bas.

J’entends que sa respiration est allaitante, des sons sortent étouffés par le bâillon mais qui ne laisse aucune question sur leur origine, l’effet de  contrainte et d’offrande commence à envahir son esprit, son subconscient et les plaisirs qui en découlent.

C’est à ce moment précis que je choisis de poser ma main sur sa cheville gauche, là elle sursaute et tire généreusement et en même temps sur ses poignets comme sur ses chevilles mais en vain, elle est toujours contrainte et dans l’obligation fantasmagorique de s’offrir à cet inconnu.   

Ma main se déplace très doucement vers le haut de cette jambe habillée de ce bas noir des plus féminins, glamour et élégants. Le mollet, le genou, sa respiration s’accélère encore, la naissance de sa cuisse, là des gémissements de plaisir se font entendre et sans ambiguïté, c’est bien des gémissements de plaisir typiquement féminin.

Un doigt glisse entre la jarretelle et le bas, effleurent sa peau nue, les gémissements sont de plus en plus fort, mon doigt prend de la hauteur et touche directement sa peau nue, à la limite de sa petite culotte.


Offerte au Maître du lieu

L’effet ne se fait pas attendre, les gémissements sont maintenant de la jouissance sans aucun doute.

Je saisis la laisse, tire sur celle-ci pour bien mettre la pression et, ma main entière vient toucher sa peau nue à la limite de son intimité et prête, elle m’offre sont plus beau cadeau intime, un orgasme étouffé par le bâillon mais c’est ce qui le rend encore plus beau.

Elle est à moi, sans sexe, sans pénétration mais, elle est aussi à elle, à ses fantasmes, ces désir de Femme, son esprit, son subconscient, la voilà enfin soumise.


Féminité et soumission

Toute chose, toute essoufflée, je lui enlève le bâillon, le bandeau et là, elle me dit, merci Maître, c’était très intense toute en tentent de reprendre une respiration normale.

Il est temps de la libérer et de la laisser détendre son corps mais également son esprit de soumise maintenant plus que jamais réel.

Je l’aide à s’assoir sur le bord de la table, l’aide à boire un verre d’eau pour la réhydrater un peu et lui permettre de reprendre ses esprits.


Toute tremblante, je la prends dans mes bras et lui demande si sa première séance lui a plu ?

Elle me répond qu’elle n’en attendait pas autant pour sa première expérience et, le faite d’avoir joui, d’avoir eu un orgasme la conforte dans la révélation de ce qu’elle est vraiment, une soumise.

Elle a tendu les bras pour me demander un instant câlin sans arrière-pensée, juste un moment de coolitude après cette expérience très forte et révélatrice.

Nous nous sommes assis sur le canapé  avons échangé sur cette séance, cette expérience.

Elle m’a fait part de son désir de vivre d’autres expériences avec encore des contraintes plus fortes, pour arriver un jour aux cordes sur la totalité de son corps et dans l’incapacité de bouger et d’être totalement sous emprise et ne pouvoir faire quoi que ce soit mais, à cet instant, elle n’en avait pas encore le courage.

Elle voudrait dans une seconde séance, vivre la soumission de ses liens de cuir mais également dans une contrainte plus forte psychologiquement ou, elle ne sera plus qu’un objet de plaisir et non une femme pour, être dans la détresse et être à l’extrême limite d’être prise ou utilisée sexuellement mais, sans l’être vraiment et d’être fidèle à son époux.


J’espère que le récit de cette séance vous a plu, mesdames n’hésitez pas, vivez vos fantasmes, contactez-moi, j’organiserais pour vous la réalisation de vos fantasmes et désire de soumissions. J’étudie toute demande, ne les acceptent pas systématiquement, il faut également que celle-ci me donne envie de les vivre à vos côtés et de partager ce moment avec vous.

A vous lire, cordialement Maître Bernard


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