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  • donjonbdsm2

Béa le retour

Dernière mise à jour : 28 avr.

Bonjour à toutes et à tous, heureux de vous retrouver et de partager avec vous mes séances BDSM avec ces dames désirant découvrir, redécouvrir, vivre pleinement leurs fantasmes de soumissions, leurs lâcher-prises.

 

Béa m’a de nouveau contacté pour prendre rendez-vous et continuer son apprentissage, sa découverte de ce monde, mon monde.


La confiance est entière, elle a vu et compris que je suis un Dominant, un Maître qui n'a qu'une parole, qui respecte ses engagements, qui respecte les soumises qui viennent à lui.

Selon ses dires, comprise également que je fessais cela pour partager ma passion du BDSM et non pas en égoïstement  pour mes plaisirs personnels.


Béa m’a fait part qu'elle n'était  pas encore prête pour une séance de Bondage, de Shibari, les cordes l'impressionnant encore mais que cela est sûr, qu'elle désire à tout prix découvrir cet Art, ces sensations, ces ressenties, ces plaisirs intenses d'être à ce point offerte, contrainte et soumises.

 

Pour sa prochaine séance, elle aimerait être contrainte avec ses accessoires comme la dernière fois  mais,cette fois, d'être plus exposée, plus offerte, plus dominée et de se sentir fragile, presque en danger. D'être à la limite d'être possédée par ce Dominateur, ce Maître qui profiterait d'elle sans qu'elle puisse dire non, qu'elle ne désirait aucunement être pénétrée d'aucune façon que ce soit, prise,utilisée, juste lui donner l'illusion d'être cette chose, cet objet de plaisir et non plus une Femme.


Elle me demande d'organiser pour elle son fantasme de soumissions, une effraction par un cambrioleur à  son domicile. Que celui-ci l'attrape, lui bande les yeux, la bâillonne, lui ôte sa jupe, son chemiser, qu'elle se retrouve en sous-vêtements, talons, de la contraindre poignets et chevilles, collier et laisse sur son lit défait où, elle aura fait l'amour avec son époux et ainsi, contrainte, offerte, en victime de ce cambrioleur, être à ça merci.

Une fois ainsi contrainte sur ce lit, faire du bruit, ouvrir les tiroirs, vider ses tiroirs à dessous et avoir des commentaires déplacés par rapport à ses dessous coquins. Venir respirer près d'elle et lui transmettre  mon excitation, effleurer son corps, respirer d'une façon forte près de ses oreilles, lui faire prendre conscience de la situation, de sa fragilité, du fait que ce cambrioleur peut à  tout instant  abuser d'elle, la prendre, la violer et devenir un simple objet de plaisir pour lui.


Le jour est arrivé,  je sonne à  sa porte et d'une voie forte lui ordonne d'ouvrir la porte me fessant passer pour un policier, ouvrez, police.

 

Elle ouvre et là, sans crier gare,  je lui saute dessus, la saisie, bloque ses bras dans le dos que je maintiens avec une main et de l'autre, lui bâillonne la bouche.

Je la bloque contre le mur de tout mon poids et ainsi, retire son chemisier, fait glisser sa jupe sur le sol, découvre un joli body en dentelle transparente.

Je bloque ses bras dans son dos et me permet, de libérer mes mains.  

Je prends un bâillon boule et la rends muette, lui couvre les yeux et la plonge dans le noir.

Elle se débat, tente de se libérer, crie mais, rien n'y fait, elle est déjà à  moi.

Je lui pose les bracelets qu'elle avait posés en évidence sur le meuble d'entrée et bloque ses poignets dans le dos.

Je prends également le collier et la laisse et ainsi, contrainte, offerte, soumise et esclave, je prends la laisse en main et la promène dans la maison comme un animal de compagnie.

J'ouvre une porte, c'est la chambre, je lui glisse à l'oreille que j'ai  trouvé  la chambre et que le lit montre une activité  suspecte, elle rougit.

Je la pousse sur le lit, lui bloque les jambes et habille ses délicates chevilles féminines de bracelets et d'un cadenas.

Contrainte par les bracelets de poignets, de chevilles, son collier et sa laisse, bâillonnée, les yeux bandés, elle est mon objet, mon jouet, ma chose.

Je prends ses chevilles, dirigent celles-ci vers ses poignets, réunis  poignets et chevilles pour une immobilisation totale.


Vivre sa soumission et se libérer dans la contrainte
Béa et ses fantasmes

Je pose ma main sur ses jambes, glisse le long de celles-ci, doucement effleure sa peau nue.

 

Je l'ai laissé  ainsi un instant seule simulant mon départ, revenu sans bruit près d'elle et, commence à  l'effleurer plus intimement, ses tétons qui pointent au travers de la dentelle de son body.

Ses cuisses douces, son petit ventre dessiné par la dentelle, le triangle de son intimité marqué par son body.

Les gémissements sont de plus en plus fort, elle tressaille, tremble, l'excitation est palpable.

Je prends l'initiative de dégrafer l'entrejambe de son body, son intimité révélée, à mes yeux, le doute l'envie sur mes intentions, son esprit est confus, excitation d'être prise, peur d'être pénétrée, doux mélange de cette situation où, elle n'est plus que chose, objet, soumise esclave, jouet entre mes mains.


Dans l'attente de son Maître pour l'initier à la soumission
Béa en attente de servir, d'être une chose, un objet

Je la laisse ainsi, dans le noir de son bandeau, dans l'impossibilité de s'exprimer par la boule du bâillon qui envahit sa bouche bavant d'excitation et d'appréhension.

Elle tire sur ses poignets, ses chevilles en vain et ressent cette irrésistible sensation de ne plus s'appartenir et d'être ma chose.

 


Révéler et vivre au grand jour la soumise qui ne demande qu'à éclore
Béa soumise, offerte à son Maître

Je me rapproche, souffle dans son cou, prends la sangle de la laisse, tire sur celle-ci pour lui permettre de se sentir chienne.

Je tire plus fort sur la laisse et l'oblige à courber la tête pour simuler le fait que je vais l'obliger à  me satisfaire avec sa bouche, ses lèvres.

Je tire encore plus fort et colle son visage sur mon pantalon à hauteur de mon pénis et lui montre ma virilité sous le tissu gonflé.


Elle est très excitée, sa respiration est haletante, des gémissements sont de plus en plus présents, plus forts, plus intenses.

 

Je la tire de nouveau avec la laisse, celle-ci exerce une grande pression sur son cou, l'oblige à se courber et ainsi, la dirige de façon très virile sur mes jambes.

 

Allongée  sur mes genoux, les bras tendus et contraints dans le dos, reliés aux chevilles liées et pliées vers le haut où, pointent ses talons aiguilles, elle est là, complètement offerte, sans connaître la suite, sans savoir ce que je vais faire d'elle.

 

Je détache ses chevilles de ses poignets et ainsi, permet à ses jambes de glisser vers le sol mais, laisse toujours ses chevilles contraintes l'une à l'autre.

Maintenant que son joli postérieur est à ma merci, je vais m'emploie à révéler mon côté artistique et ainsi, dessiner sur sa chute de reins, chaleurs et couleurs.


Consciente de sa position, consciente de sa place, éclairée par mes intentions, la chair de poule monte et descend le long de sa colonne vertébrale, elle comprend que je vais lui offrir une séance de fessées.

 

Ma main touchant la cible, le premier coup suit, elle sursaute et crie à travers son bâillon étouffant celui-ci.

Le deuxième coup frappe avec audace et volonté ce postérieur féminin et rebondi.

Le cri change, il va plus vers un cri de plaisir, qu'un crie de surprise ou de douleur

 

Le troisième coup est bien plus cinglant, là,  pas de doute, c'est un cri de plaisir, un cri de soumise qui aime être fessée par son Dominant, son Maître.


Plus les coups sont appuyés et fermes, plus les cris sont jouissances, plus sa peau rougie,chauffe, plus les cris ressemblent à de la jouissance.

 

J'accélère la cadence, passant d'une fesse à l'autre et, dans l'action, n'arrête plus et fessant à tour de bras transformant cette peau rose en rouge vif, où des traces révèlent le passage de ma main, où  la peau est maintenant chaude comme Béa qui ne peut plus se contrôler et m'offre un orgasme sonore et un corps tout entier en transe.

 

Sans l'avoir pénétrée,  sans avoir abusé d'elle, elle est à  moi, soumises, offerte, esclave de ses envies, de ses fantasmes, mon esclave que je dresse, initie, éduque.

 

Je la redresse pour la soulager de cette position qui est, il faut le reconnaître, pas très confortable.

Je lui retire le bâillon et lui essuie la bouche, le menton, le cou où sa salive avait coulée abondamment du fait du bâillon et de la profonde excitation.

Elle est toute chose, troublée, tremblante.

Je lui retire son bandeau, libère ses poignets, ses chevilles.

Au moment où je fais le geste de retirer son collier et sa laisse, elle se précipite dans mes bras, éclate en sanglots et, d'une voie toute tremblante, me dit : Merci Maître pour ce moment extraordinaire, je sais enfin qui je suis, je n'ai plus peur de le dire, de le reconnaître et, du même  coup, de l'accepter,  je suis une soumise, j'aime être dominée, utilisée, non pas comme une Femme mais, comme un objet, une chose, et c'est extraordinaire les sensations de plaisir que cela m'a apporté.

 

Après un petit échange constructif, elle me demande si j'ai encore un peu de temps à lui accorder,  un peu de temps pour qu'elle soit encore ma soumises, ma chose, mon objet ?

Je réponds qu'il est possible de lui accorder encore un peu  de temps mais, pour quel fantasme, désire, envie ?

Elle me dit un peu gênée qu'elle aimerait  être contrainte, bâillonner, les yeux bandés et, de goûter les lanières de cuir d'un fouet sur la peau joufflue de son postérieur et, être dressée telle une esclave qui reçoit sa flagellation  journalière  pour lui rappeler sa place, son rang, son devoir.


J'avoue que la demande est bien difficile à refuser, initier une soumise débutante aux délectables sensations du fouet sur son corps.

 

Elle s'allonge sur le lit, les bras dans le dos, les poignets joints, les jambes écartées, les yeux fermés, la bouche ouverte.

Je contrains ses poignets, bandent ses yeux, bâillonne très fermement sa bouche, attache ses chevilles bien serrées, écartent fortement ses jambes, je glisse sous son ventre un cousin rigide qui la force à tendre son postérieur vers moi, vers mon fouet.

Complètement offerte, à  ma merci mais, surtout à la merci de mon fouet, je prends celui-ci et fais glisser tout doucement les lanières de cuir sur ses fesses, le long de sa colonne vertébrale.

 

Fait demi-tour et parcours tout son corps et arrête ma course au niveau de son pied gauche.

Des frissons parcourent la totalité de son corps fassent des ondulations sur sa peau.

Des gémissements sont perceptibles, sa respiration s'accélère, son bâillon est mouillé, son intimité également.

C'est à ce moment précis que je choisis de lui infliger le premier coup.

Elle sursaute, crie, tirant sur ses liens, ses contraintes.

Je passe ma main sur cette fesse meurtrie et, sans crier gare, abat un nouveau coup.

Elle sursaute de nouveau, son crie module entre surprise et plaisir naissant.

Je la laisse un court instant et un troisième coup s'abat sur sa peau là, pas de doute, ce sont des cris de plaisir, c'est une manifestation sonore et corporelle qui ne laisse aucun doute sur ses ressenties.

 

Je viens à la hauteur de ses oreilles et lui murmure à celles-ci : tu aimes, je continue, plus fort, dis- moi oui dans la contrainte de ton bâillon, exprime-moi ta soumission, ton envie d'être qu'une chose, un objet, le plaisir de servir, d'être possédée non pas par le corps, mais par l'esprit, l'âme.

Un oui Maître étouffée bavant se fait entendre, oui Maître fouettez moi, encore, je suis votre chose, punissez- moi comme une bonne chienne obéissante.

Plus de doute, elle est en phase avec sa soumission, son lâcher prise est atteint et elle est prête à  connaître la chaleur et les couleurs du fouet sur son postérieur.

C'est à  ce moment précis que je choisis pour lui fouetter par trois fois, sans temps mort, son postérieur qui commence à prendre des couleurs.

Elle crie, bouge beaucoup mais retenue par ses contraintes, gémit fortement.

Elle gémit de plus en plus fort et de ce fait, je la fouette encore plus, commençant à le faire plus fermement et là, un orgasme puissant se fait t’entendre, le fouet s'abat encore passant d'une fesse à  l'autre et, à  peine le premier orgasme terminé, un autre se fait entendre.

Elle est en transe complètement droguée par toute cette endorphine qui lui inonde le corps. Complètement trempée, le cou mouillé par la bave provoqué par le bâillon et l'excitation incontrôlable, trempée à l'entre jambes elle est épuisée.

J'arrête et pose le fouet sur son dos, retire les contraintes qui lui écartent les jambes, défait les bracelets qui lui contraignent les poignets, retire le bâillon trempé, le bandeau qui cache ses yeux marrons et là elle s'effondre en sanglotant.


Complètement perdue, ne comprenant plus tout ce qu'elle ressent, son esprit est noyé de tous ces ressenties, ces sensations, ces plaisirs si puissants qu'elle ne peut les contrôler.

Elle se relève, me regarde, viens se blottir dans mes bras et tout en sanglotant, me dis, merci, merci, merci Maître, c'est extraordinaire, je me suis sentie esclave, chose, ne m'appartenant plus, obligée de subir ces incontrôlables plaisirs qui m'ont mise dans un état de transe, d'abandon.

Je n'ai jamais eu d’orgasmes aussi forts et c'est la première fois que j'ai deux orgasmes simultanés.

Elle se rhabille, vient vers moi et m'embrasse tendrement sur la joue.

Il est temps de se quitter.

Elle part avec un sourire à mon égard et le regard pétillant d'une femme qui quitte son avant après une bonne partie de jambes en l'air alors qu'il n'y a  pas eu de sexe entre nous.

 

C'est un des moments que je préfère, voir, comprendre comme la soumission peut faire rayonner une femme et ainsi, révéler la soumise, l'esclave qui sommeille en elle.

 

J'espère que cette séance vous à plus et que j'ai su faire transparaître toute l'intensité, la puissance de ces moments dans mes écrits.

 

A bientôt pour d’autres séances.

Mesdames n'hésitez plus, vivez vos envies, vos fantasmes, vos désirs de soumissions, la vie passe  très vite et il serait  bête de passer à côté de cette révélation de votre être profond.

Bien cordialement Maître Bernard.


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