Béa m’a de nouveau contacté par mail, cela deviens non pas routinier mais, très enrichissant.
Dans ce mail Béa me fait part de sa soumission grandissante, de son envie d’aller plus loin, de vivre d’autres expériences ou, elle sera encore plus soumise, offerte, dans l’obligation d’obéir, de subir les ressenties puissants, les sensations enivrantes, les plaisirs proche de l’overdose, elle deviens accros.
Elle es revenue à la charge vers son époux pour lui faire part de ses fantasmes de soumission, son désir d’être utilisée, sa soif d’être objet, chose, jouet auprès d’un Homme, un Dominant, un Maître qui sauras faire d’elle ce qu’elle fantasme t’en de devenir.
Son époux aussi amoureux qu’il est, ne comprends pas ce fantasme, cette envie viscérale d’être non pas une Femme mais, une soumise, une chienne, une esclave au service et aux sévices d’un Homme qui la considère juste comme un utilitaire de plaisir pour dans ce statue sociale, être à sa place, à quatre pattes, aux ordres et dans l’obligation par jeux, par envie, par fantasmes d’être au service de son Maître et Propriétaire.
Celui-ci rejette cette possibilité avec des mots violant et crû qui, ne laisse aucun doute sur sa non-participation à la réalisation entre époux d’une telle complicité.
Cette fois elle passe à côté de ses principes et franchissant la frontière de son éducation, de son honnêteté, elle me demande de réaliser ce qu’elle fantasme en secret depuis si longtemps, offrir une fellation profonde à un Homme contrainte, dans l’obscurité de son bandeau, dans l’obligation dans les gestes, la voie et l’esprit de n’être qu’une fellatrice obéissante prête à aller jusqu’au bout de son devoir, satisfaire le Maître et n’être à ses yeux mais aussi aux siens qu’une soumise offerte effectuant son devoir.
Le rendez-vous est pris, elle viendra avec ses accessoires et son body en dentelle ou cette fois, elle sera pour la première fois de sa vie, une soumise.
Le jour J arrive, dans son habitation que je commence à bien connaitre, elle m’attend.
Avec sa jupe droite, son chemisier, ses talons hauts, elle est toujours aussi féminine, élégante, femme et j’aime cela, cela me motive encore plus.
Elle m’invite à la suivre dans sa chambre, je vous prie Maître en me montrant avec la main.
Je rentre dans la chambre, elle passe derrière moi, ferme la porte, fait glisser la fermeture éclair de sa jupe, fait sauter le petit bouton, sa jupe tombe sur ses chevilles.
Ce mets à genoux, déboutonnent un à un les boutons de son chemisier, retire celui-ci.
La voilà jambe nues, avec ses talons, son body transparent et posé sur le lit, sa parure de soumise.
Le collier, la laisse, les bracelets de chevilles, de poignets, son bandeau, le bâillon.
Elle tend son cou, je vous en prie Maître, je suis votre soumise, votre chienne, posez moi mon collier s’il vous plaît que je me sente votre.
Je prends le collier, le passe autour de son coup, verrouille celui-ci.
Je prends la laisse et la passe sur l’anneau du collier et, celle-ci pendent entre ses seins, magnifique spectacle.
Je prends son poignet droit et pose le bracelet de cuir, fait de même avec le poignet gauche et les relient l’un à l’autre dans son dos pour, qu’elle sente petit à petit qu’elle m’appartient et ainsi, sera bientôt mienne.
Je prends un bracelet de cheville, saisie sa cheville droite de manière virile pour qu’elle ressente ma domination sur son corps, son esprit, son subconscient.
Je verrouille le bracelet sur sa cheville et, je sens bien l’effet qui commence à ce manifesté.
Je fais de même avec la cheville gauche fermement également et, je ressens tout son corps qui réagit avec une pointe de gémissement qui ne laisse aucune place au questionnement sur son état d’excitation.
Je prends ce bout de cuir en X, cuir avec les mousquetons qui vont me permettre de relier poignets et chevilles entre eux et ainsi, contraindre ma soumise du jour et faire d’elle ma chose pour notre plus grand plaisir.
Un clique sur sa cheville gauche, un clic sur sa cheville droite, un autre clique sur son poignet gauche et de même sur son poignet droite.
La voilà bien tendue en arrière, gonflant sa poitrine, fière d’être à ce point soumise, offerte et fière d’avoir su, dépasser ses limites.
Je la laisse un instant prendre conscience de sa situation, je la laisse un instant tirer sur ses liens pour prendre conscience qu’elle est à moi et qu’elle ne peut plus s’échapper mais, le veut-elle vraiment ? cela m’étonnerais beaucoup.
Une fois ce temps de pose dépassé pour lui permettre d’être chaude et obéissante, je prends le bandeau et la plonge dans l’obscurité.
Aveugle, contrainte par ses propres contraintes de cuir, offerte, prête à être à mon service, je saisie le bâillon et l’insert dans sa bouche pour le verrouiller dans son cou et faire d’elle un objet. Contrainte, dans l’impossibilité de bouger, de s’échapper, dans le noir, dans l’impossibilité de parler, de s’exprimer, ma chose, mon jouet.
Je la laisse un instant ainsi pour quelle profite du moment, je sais qu’elle est aux anges et, sans y plonger un doigt, sais que son intimité est toute mouillée.

Je saisie la laisse, tire sur celle-ci pour qu’elle sente quel animal elle est à ce moment.
Toute en continuent de maintenir la laisse tendue qui exerce une pression sur son cou, je commence à caresser ses seins à travers la dentelle de son body, titille ses tétons, tire sur ceux-ci.
J’entends sa respiration s’accélérer, je sens ses tétons devenir dur, j’entends des légers gémissements.
Je décent ma main doucement le long de son buste, caressent ses cuisses, revenant vers son entre cuisses et là, sans crier gare, fait sauter les boutons pression de son body et ainsi, me donne accès à son intimité.
Là je l’entends gémir, elle bave le long de sa boule de bâillon.
J’effleure son intimité, passe un doigt furtivement entre ses grandes lèvres, cela la fait sursauter, autant que ses gémissement s’accentue.
Je m’attarde et titille son clitoris là, elle commence à faillir et bouger de façon plus en adéquation avec ses nombreux plaisirs naissants.
Je passe mon doigt le long de ses lèvres trempées de la bave du bâillon et de l’excitation qui ne fait que grandir.
Mon doigt bien humidifié, je redescends celle-ci et, son intimité trempée, je la pénètre directement et commence des va & vient très lents, sans grande profondeur de pénétration.
C’est l’apothéose pour elle et elle commence à avoir des spams, son ventre se contracte, se décontracte, tour à tour, elle bave de plus en plus, son body est trempé pas cette sécrétion qui trahis son excitation qui devient difficile à maitriser.
Je continue mes va & vient en elle, accélère doucement le rythme, fouille ses entrailles, effleurent son clitoris, la fessant devenir folle de plaisir d’être à ce point stimulée dans cette contrainte ou elle comprend qu’elle n’est plus maitre de son corps, maitre de ses plaisirs et moi, moi seul est au commande de son corps, de ses plaisirs, de ses orgasmes.
D’ailleurs celui-ci ne se fait pas entendre, un orgasme puissant l’envahie toute entière atténué par le bâillon alors, sans perdre une seconde, je continue de plus belle, tire sur le laisse, l’obligeant à courber l’échine et de ce fait, est à moi encore plus comme soumise.
Un deuxième orgasme vient juste de ce produire, puissant, qui fait bouger tout son bas ventre avec une impression qu’elle ne peut plus contrôler son corps, sa respiration, ses joues, son front rouge des plaisirs reçus ne laisse aucun doute sur la puissance de ces orgasmes.
Maintenant, il est temps de lui faire prendre conscience qu’elle n’est que l’objet, la chose, le jouet que je vais utiliser pour mes plaisirs qu’elle le souhaite ou pas, qu’elle ne peut refuser, obéir, subir, effectuer son devoir et la placer dans la situation qui la recadre directement et lui fait comprendre sa place, son rang sociale, une soumise aux services des Hommes.
Je détache ses poignets dans son dos, les verrouillent avec un cadenas, face à moi.
Je laisse ses chevilles contraintes l’une à l’autre.
Je saisie ses cheveux, fait une petite queue de cheval avec, tire sur celle-ci comme une poignée pour, l’obliger à me regarder et d’une voie sévère et ordonnatrice, lui faire prendre conscience que maintenant, elle n’est plus Femme mais, soumise à mes ordres et envies.
Je retire son bâillon et sans perdre de temps, par la poignée que représente sa queue de cheval, l’oblige à ouvrir la bouche et prendre mon sexe en bouche d’une façon très virile et sans ménagement qu’elle puisse ressentir toute la puissance et la soumission de ce geste.
Mon sexe en bouche, je commence à l’obliger à me faire cette fellation qu’elle ne peut maitriser, je suis le seul Maître à bord et choisis la profondeur de pénétration, la vitesse avec laquelle je fais des va & vient dans sa bouche.
Elle tente de se retirer, elle bave, cris, force sur son cou pour se libérer de ce sexe qui profane cette bouche jusqu’ici réservée à son époux.
Je continue de l’utiliser, je prends mon plaisir et lui fait bien ressentir, bien comprendre qu’elle n’est là que pour me satisfaire et, comme un jouet, un objet sexuel, j’utilise sa bouche mais également son esprit, son subconscient pour mieux la dominer, la dresser à me donner du plaisir même si elle n’en prends pas et comprendre ainsi, que seul les plaisirs du Maître comptes et que cela est son devoir, comme toute bonne soumise bien éduquée, dressée.
J’accélère mes va & viens dans sa bouche, effectue des gorges profondes, elle râle, cris, cherche à se retirer mais, je la tiens fermement et pour qu’elle accepte et comprenne cette situation, je prends ma cravache et tout en lui profanent sa bouche, lui inflige des coups sur les fesses avec ma cravache.
Mon pénis en bouche, les poignets contraints par l’anneau de son collier, ses chevilles contraintes pas les bracelets, les yeux bandés, cravachée, les cris se change en gémissements et c’est le moment qu’elle choisit pour elle-même effectuer une masturbation avec ses mains liées et, continuer à me sucer.
C’est à ce moment que je décide de ne plus me retenir et, d’un geste sec, tire sur ses cheveux, l’obligent à courber la tête vers l’arrière et d’une voie autoritaire, lui donne l’ordre d’avaler ma semence.
Elle obéit et prends en bouche ma semence, la retenant dans celle-ci, ouvre la bouche et me montre le sperme de mon éjaculation, puis avale celui-ci avec, un regard gêné et à la fois satisfait.
Toute essoufflée, toute mouillée, excitée, je lui donne l’ordre de bien lécher le contour de ses lèvres pour ne pas en perdre une goute et me montrer comme elle est devenue soumise, prête à servir et obéir sans limite et dans l’oubli de ses valeurs, de son éducation.
Je la libère de ses contrainte, elle se colle contre moi, et d’une voie et d’un regard honteux, me demande :
Maître suis-je une bonne soumise, une bonne chienne ?
Je lui réponds que c’est une avancé mais qu’elle a encore de l’éducation à recevoir pour arborer fièrement ce titre.
Voici le récit de cette séance, j’espère qu’il vous plut et que j’ai su vous le faire vivre.
D’autre séance avec Béa ? peut-être à voir si elle veut aller plus loin et briser encore plus ses limites et peut être un jour être une véritable soumise, être fière d’avoir ce titre.
Dans l'attente de son éducation, de son dressage, je vous invite à regarder cette petite vidéo de cette séance :
Cordialement Maître Bernard.
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