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Béa Contraintes, Fouet, Nudité.

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Dernière mise à jour : 20 nov. 2024

Béa m'a de nouveau contacté par mail, dans celui-ci elle me fait part de sa soif de soumission, de son manque de fouet de rougeurs et de chaleurs, de ne plus être celle du paraître, de ne plus être à elle et d'appartenir corps et âme à cet Homme, ce dominateur, ce Maître qui a, réussie à la révéler, à la libérer et réveiller elle qui sommeille en elle.

 

Elle aimerait passer une étape, celle d’être nue, offerte, contrainte, de se sentir objet, chose et que la barrière symbolique des tissus que représentent ses vêtements ne soit plus qu’un souvenir.

 

Elle n’est pas prête psychologiquement à s’offrir sexuellement, d’être ma soumise dans mon donjon et vivre les sensations, les ressenties, les plaisirs intenses d’être à ce point soumise, chienne, esclave contrainte et offerte sur mes meubles de contraintes, cela lui fait encore peur et, je peux le comprendre, ne rien précipiter, ne pas la bousculer, la laisser venir à moi, la laisser venir à un lâcher prise total.  

 

Elle me fait par également de son appréhension des cordes, se sentir à ce point contrainte, offerte, cela doit être tellement fort que cela l’a stress mais, que cela l’attire fortement, qu’elle a vraiment envie de vivre cela.

 

Le jour J est arrivé, je sonne à sa porte, elle m’ouvre et dans la seconde qui suit, se met à genoux, les mains dans le dos, la tête base et me dis d’une voix humble, Bonjour Maître, je vous attendais pour vous servir et être votre chose.


C’est un beau cadeau qu’elle me fait l’a car, ce n’est pas une demande de ma part et je reçois cela comme un cadeau, un beau cadeau, une offrande. J’apprécie beaucoup cette offrande, cette preuve de soumission.

Je suis heureux pour elle et fière d’elle qu’une telle initiative révèle son état d’esprit, son bien-être d’être soumise, d’être enfin celle qu’elle rêve d’être.

C’est une complicité, un partage, un échange de ce donner l’un à l’autre chacun à la place qu’ils souhaitent être dans le respect et le souhait de chaque partie.

 

Dans ce magnifique tailleur jupe, chemisier blanc et ensemble gris, bas écureuil avec coutures, escarpins à talon aiguilles de 8 à 10 centimètres, elle est magnifiquement féminine.

Dans cet écrin d’élégance et de féminité, la Femme deviens soumise, offerte par la présence de son collier de soumise autour de son cou, la laisse qui pend entre ses seins, les bracelets de poignets et de chevilles.

Toujours à genoux elle me tend le bandeau, le bâillon et  toute en me regardent, me dis :

Je suis à vous Maître, faite de moi votre soumise, initiez-moi à devenir une bonne soumise et comblée de l’être.

Faite de moi ce que bon vous semble et je sais, que vous me respecterez et respecterais mes limites actuelles, j’ai confiance en vous et je sais que vous me conduirais petit à petit à les dépasser, à me dépasser et ainsi me conduire à devenir une soumise accomplie et fière de l’être.

Je prends la laisse, tend celle-ci pour prendre en main cette offrande.

Une fois debout sur ces magnifiques talons qui lui galbent les jambes et révèlent sa féminité, je lui bande les yeux.


Là dans cette élégance, cette féminité, elle attend d’être à moi et de se donner corps et âme et libérer la soumise prisonnière en elle et le carcan que lui impose cette société hypocrite.

 

 

Je prends ses poignets et avec les anneaux de ses bracelets, contraint ceux-ci dans son dos avec un cadenas.

Le clique du cadenas qui se verrouille la fait vibrer, je sens sa respiration s’accélérer, ses jambes trembler.

Dans le noir, les bras contraints dans le dos, je parcours doucement son corps avec ma main, effleurent son cou, ses épaules, ses tétons qui pointent en dessous de son chemisier avec ce soutien-gorge sans bonnets qui se révèle dans le décoté de ce chemisier classique mais d’une profonde élégance.

Je glisse ma main le long de sa colonne vertébrale, descend doucement vers sa chute de reins, glisse ma main entre ses jambes et remonte celle-ci vers son intimité mais, arrête sur-le-champ et provoque chez elle autant un côté rassurant qu’un côté frustration.

Je reprends mon exploration de cette soumise, son corps, son esprit, son âme, glisse une main au niveau de ses hanches, reviens doucement vers le centre, descend doucement vers son intimité.


Je descends doucement jusqu’à la fin de sa jupe, glisse ma main sous celle-ci et remonte doucement sur ses bas, sent ses jarretelles, puis sa peau nue et finis pas glisser sur son intimité.

 

Elle ne résiste pas, elle est chaude comme la braise, se sentir à ce point offerte, possédée, objet sous les mains conquérantes de cet homme qui n’est pas le sien et qui peut à tout moment faire d’elle un objet sexuel et abuser d’elle est aussi bien une torture que des plaisirs extrêmes, son esprit est brouillé, ses convictions bousculés, son éducation refoulé.

Perdue, excitée, elle est en transe et commence à prendre conscience de sa place et de ces devoirs, servir, obéir, soumise à cet Homme, ce Maître, soumise à ses fantasmes, ses envies d’être cette soumise qui ne décide plus de rien et qui se doit de faire qu’une chose obéir pour, être elle-même et se sentir libre dans les contraintes.

 

Je passe ma main autour de son cou habillé de ce collier qui la rends soumise, esclave peut être un jour si elle le veux et, la bloque contre mon buste et lui impose fermement ce bâillon qui prends possession de sa bouche.

 

Bien serré pour que cette boule rentre bien dans sa bouche et l’empêche de prononcer un mot, bien serré pour lui permette de baver et de se sentir soumise sous cette pression libératrice, elle s’offre à moi, elle est à moi.

 

Les bras contraints dans le dos, les yeux bandés, la bouche bâillonnée, je déboutonne sa jupe, fait glisser la fermeture éclair et ainsi, fait tomber sur ces chevilles cette jupe, ce morceau de tissu.

Elle tremble, ses jambes vacillent, sa respiration s’emballe.

Je déboutonne un à un les boutons de son chemisier et fait glisser celui-ci sur ses épaules révèlent sa poitrine tendue et ses tétons durent d’excitation.

J’effleure ceux-ci provoquant chez elle encore plus d’émois, dégrafent son soutien-gorge et libèrent ses seins.

Retire un à un les jarretelles de ses bas, effleurent son intimité, dégrafent son porte-jarretelles, effectuent des petites fessées sur ses fesses tendues, fait glisser ses bas sur ses chevilles.


Ne pouvant plus tenir de cette situation, ne pouvant plus canaliser ses ressenties, ses sensations les plaisirs qui parcourent tout son corps, elle gémit, la chair de poule parcourent la totalité de son corps, la bave de son bâillon coulent sur ses seins est du plus belle effet.

 

Je détache ses poignets, lui enlève son chemisier, son soutien-gorge, la contraint à nouveau avec les anneaux de bracelets de poignets et celui de son collier.

Lui enlève ses escarpins, lui retire ses bas.

La voilà pour la première fois entièrement nue devant moi, contrainte, offerte, soumise pour la première fois, libérée de tous cette armure de tissus, nue de son corps, de son esprit, de son âme, offerte, dominée, soumise et donc comblée.

 

Je prends la laisse en main et l’oblige à me suivre.

Je me dirige vers la chambre ou je vais lui faire découvrir d’autre plaisirs, d’autres sensations, d’autres ressenties d’être à ce point soumise, offerte.

 

Je lui ordonne de s’allonger sur le lit, détache ses poignets de l’anneau de son collier et relie les bracelets de poignets et de chevilles entre eux.

Cette nouvelle contrainte lui fait découvrir que de cette façon, la totalité de son corps nu est offert à ma vue mais également à tout autre jeux.



Offerte, nue, contrainte, prête à servir le Maître

Dans le noir de son bandeau, dans le silence de son bâillon, dans les contraintes physiques et mental des liens, elle est offerte et dans l’obligation fantasmé de subir les morsures du fouet sur sa peau nue. 

C’est la première fois qu’elle va découvrir les sensations du fouet sur ses seins, son ventre, son intimité.

 

Elle est là, contrainte prête à recevoir la chaleur du fouet sur sa peau, sa respiration est déjà haletante, la chair de poule parcoure déjà tout son corps et c’est à ce moment précis que je choisis d’abattre le premier cou sans grande puissance, sur une cuisse.

Elle sursaute, bouge, tends tout son corps et gémissent comme une bonne soumise heureuse que son Maître s’occupe d’elle.

Un deuxième coup arrive sur son ventre, de façon plus symbolique que violente pour lui permettre une montée en puissance progressive de ses plaisirs.

Le troisième s’abat sur ses seins, elle cri, se débat, trésaille…..

Elle bave fortement mais dans la contrainte de sa bouche, dans la contrainte de son bâillon et me dis, plus fort Maître plus fort, je suis votre soumise, votre chienne, votre esclave, punissez-moi, je ne suis qu’une chienne qui mérite une correction chaude et cinglante et qui rentreras chez elle avec les zébrures de votre fouet, la signature de votre domination, trace rougeâtre que je ne suis que chose, objet, esclave à dresser.

 

Devant cette demande sans pareil, je m’exécute avec conviction et la fouette plus fort, monte, décents du buste aux mollets pour lui faire goûter les sensations, les ressenties, les plaisirs de n’être qu’une esclave aux services de son Maître mais toujours dans un esprit de partage de ces moments d’une grande complicité.

 

Un orgasme se fait entendre, elle ne peut se retenir et urine sur son lit, devant autant de plaisir incontrôlable, je reprends de plus belle et la fouette avec force et marque aussi bien sa peau que son esprit, son âme de soumise et aujourd’hui d’esclave.



Dans l'obcurité, baîllonnée soumise et prête à servir

Un autre orgasme se révélé encore plus puissant que le premier, elle est en overdose de plaisir, son corps toute entier empli de ces chaleurs, de ces couleurs, de ces ressenties d’être à ce point dominée, d’être à ce point chienne, soumise, esclave et de ne plus se sentir Femme avec un grand F mais objet, jouet, chose.


prête à recevoir le fouet objet de ses fantasmes

Je pense qu’il est temps de faire une pause, de la laissé reprendre ses esprits et d’échanger ensemble sur cette avancée majeur de son initiation à la soumission. 

Je lui retire le bâillon trempé, ouvre avec la clé les cadenas qui contraignent les poignets et les chevilles. 

La voilà toute chose devant moi, nue, offerte, encorde dégoulinante de ces émotions qui envahissent encore la totalité de son être. 

Malgré sa nudité, elle se blottie contre moi, tremblante, toute fragile, ne savant plus qui elle est ou au contraire, consciente de qui elle est vraiment et ainsi, confirment que d’être soumise, de ne plus s’appartenir, d’obéir sans restriction, d’un total lâcher prise est sa destinée et son but premier révélé par nos séances.

Elle me regarde et me dis, Maître suis-je une bonne soumise ?

Je lui réponds qu’elle n’est encore qu’au balbutiement de son initiation, de sa formation, de son dressage et que pour le moment, cela est fort prometteur.


Je profite de ce moment pour reprendre sa check-list de soumission et ensemble revoir les limites et objectifs.

Nous cochons ensemble les avancés, fouet, nudité, contraintes, puis nous voyons ce qui peut être fait, les limites toujours d’actualité ou, à franchir.

Elle me dit être prête à me servir, elle est frustrée d’être la seule à avoir des orgasmes, jouissances intenses et souhaite me servir de façon plus intime, plus soumise, plus esclave au service de son Maître et ainsi, comme toute bonne soumise, voir au-delà, passer les plaisirs du Maître avant les siens et ainsi, franchir les limites qu’elle c’était fixées et ainsi, appartenir corps et âme à son Maître tout en au moins dans l’esprit, rester fidèle à son époux car, elle ne sera plus elle-même mais, celle qui vie en elle depuis toujours et ne rêve que de s’épanouir en plein jour et vivre enfin.

 

Elle se positionne à genoux devant moi, mets ses poignets dans le dos, les chevilles bien serrées l’une contre l’autre et m’embrasse les pieds nus en me disant :

La prochaine fois Maître, faite de moi ce que bon vous semble, je ne serais que votre servante soumise et offerte, obéissante et fervente.

 

Elle me regarde de façon complice, me sourit, se rhabille et toute en enfilent ses bas, en clipant ceux-ci sur les jarretières, prends sa petite culotte et me dis : bientôt je n’aurais plus besoin de cela même en dehors de nos rencontre pour vous appartenir même en votre absence.

Obéir également sur votre ordre d’être totalement lisse, épilée pour, vous recevoir en Maître de mon corps et de votre esprit, votre force qui va aliéner le mien et faire de moi, une parfaite soumise aux ordres et envies de mon Maître.

 

Il est temps de se quitter, elle me prend la main, se mets à genoux et insert mon petit doigt dans sa bouche et le suce avec un regard gêné et honteux mais également comblé par cette étape franchie.

Elle est prête……  


J’espère que cette séance vous a plu, Mesdames ne vous contentez pas de lire ces récits, vivez-l’es, assumez vos envies, vos pulsions, laissez vivre celles qui est en vous, prisonnières des barrières que vous vous imposez et laissez-vous porter par vos fantasmes et ainsi, vivre enfin ce que vous fantasmez.

Quel que soit vos fantasmes de soumissions, qu’ils soient juste pour la passion des cordes et la beauté de la Femme révélée par la contrainte des liens sans autre chose, qu’ils soient de la pure soumission ou vous ne serait que l’objet de la séance, toute demande est étudiée, n’hésitez-pas à me contacter temps que cela reste dans un esprit d’échange, de complicité, mais toujours sans violence extrême que je ne pratique pas, dans le respect de l’hygiène, pas d’activité de scato et autre pratiques qui ne sont pas dans ma façon de voir le BDSM.

Merci par avance pour votre lecture, j’espère que celle-ci vous auras fait voyager dans mon univers.

Bien cordialement.

Maître Bernard.

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