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FLAGELLATION

Dernière mise à jour : 28 mars

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Bonjour à toutes et à tous.

Elle est venue à moi, voilà peu de temps pour enfin réaliser son fantasme de corde, de contrainte, de soumission et ainsi, offerte autant à ses fantasmes qu'à son encordeur.


Encordée, contrainte, offerte, elle a enfin découvert les ressenties, les sensations, les plaisirs intenses du lâcher prise.


Être libre dans la contrainte, libérée d'être soumise et ainsi se laisser faire et comprendre, prendre conscience que d'être Femme libérée se vie dans la soumission.


Elle ne m'avait pas tout dit, de ses envies, de ses fantasmes, juste qu'elle désirait intensément connaître les cordes sur son corps, son esprit, son âme.


Comme vous avez pu le lire dans mon récit sur notre séance : pour vivre son fantasme de cordes et de contraintes, paru et vécu voilà quelques semaines, elle m'a contacté à nouveau pour me remercier des moments passés, du respect de sa personne, de ces limites, de l'engagement de ne pas la toucher, juste lui offrir et partager avec elle mon amour des Femmes et des cordes.



Maintenant que la confiance, la complicité est palpable entre nous, elle m'a fait part de son profond désir d'être à nouveau contrainte par mes cordes et mon savoir-faire mais, cette fois, avec un autre fantasme, encore moins évident à avouer que le premier, même à moi.


Elle rêve, fantasme d'être très contrainte par des cordes, fortement bâillonnée, les yeux bandés, mon collier d'esclave en acier, lourd et froid sur son cou, nue ainsi offerte, fragile, et d'être flagellée sur les parties les plus sensibles de sa féminité.



Les seins, les fesses, les cuisses et, comme elle l'a vue sur des vidéos, sur son intimité et cela, dans l'impossibilité de m'en empêcher, dans l'impossibilité de crier, dans l'impossibilité de voir le fouet s'abattre sur sa peau, son corps et les zones les plus sensibles et tactiles de sa féminité.


J'avoue que cette demande par écrit m'a légèrement troublé, une telle révélation aussi vite après il est vrai de nombreux mois d'échanges, de secrets partagés, de révélations inavouables.


De ces deux repas partagés, de cette merveilleuse séance où j'ai eu l'honneur et la joie de sa confiance et de faire n'être la soumise qui sommeillait en elle.


Je lui ai répondu qu'il fallait que nous en discutions de vive voix car, cette demande n'est pas anodine, loin de là.


Je lui ai demandé si elle avait déjà subi ce type de soumission qui, l'air de rien à un cousinage avec l'esclavage.


Elle m'a répondu qu'elle se fouettait souvent dans sa chambre, s'attachait les chevilles, se bâillonnait et s'auto-flagellait et qu'elle allait jusqu'à l'orgasme mais, qu'elle pensait souvent,

que de l'être par un Homme, un Dominateur, un Maître, attachée, contrainte, encordée, dans l'impossibilité psychologique et physique de l'en empêcher lui procurerait des orgasmes nombreux et puissants qui lui permettrait à nouveau de vivre ces moments d'intenses plaisirs et de sentir son corps quitter le sol et être en overdose d'émotions, et de sentir cette drogue appeler lâcher prise.


Elle m'a fait part de sa décision et qu'elle ne voulait pas en discuter mais, venir au donjon pour le vivre, trop peur que je lui fasse changer d'avis et elle-même, face à moi, changé d'avis.


Le rendez-vous est pris, elle se présentera à moi, à genoux, les mains derrière le dos, la tête basse, le regard vers le sol, me dira, Maître je mérite une punition et demande humblement d'être punis comme il vous plaira.


Le scénario défini, il ne reste plus que d'attendre patiemment de part et d'autre que les chiffres sur le calendrier bougent plus vite.


C'est le jour, le jour où elle va franchir la porte de mon donjon pour la première fois en soumise et la franchira à nouveau dans l'autre sens en esclave.


Elle frappe à la porte avec le code habituel, je lui ouvre.

Elle me regarde avec un doux mélange de sourire complice, d'anxiété et une pointe de gêne de tout ce qu'elle m'a révélée.


Elle porte une robe longue d'été qui laisse voir que ses seins sont nus, un oubli peut être, le soutien-gorge resté sur le bord du lit quand elle se préparait pour venir me rejoindre troublée à la pensée de ce qui allait suivre.

Des escarpins à talons hauts et fins de 8 à 9 cm qui lui galbent les jambes, les mollets et qui révèlent ses courbes féminines.


Dans l'embrasure de la porte, la lumière qui entre laisse apparaître en soleil romain qui laisse deviner que la robe est le seul tissu présent sur son corps et que celui très prisé par ces dames, est absent.


Excitée, troublée, presque tremblante, elle s'agenouille au milieu du donjon, mets les bras dans le dos, les poignets l'un contre l'autre pour simuler une contrainte virtuelle, baisse la tête et d'une voix tremblante me dit :


Maître je mérite une punition et demande humblement d'être punis comme il vous plaira.


Bien sûre, cette entrée en matière est le scénario prédéfini pour que, chacun vive ce moment avec complicité.


Je lui ordonne de se lever, d'ôter sa robe, de se mettre à quatre pattes et de me rejoindre.


Je la vois pour la première fois nue, elle est magnifique, de jolis seins pas très gros mais en forme de poire aux tétons bien tendus et même sans les toucher, bien durs.


Un maillot entièrement épilé pour l'occasion où comme d'habitude, je ne peux le dire.


Un petit ventre avec une petite rondeur discrète.


Des sublimes jambes longues et fines, quoi de plus beau qu'une Femme nue avec juste ses talons comme tout vêtements.


Elle vient vers moi, à quatre pattes.

Le spectacle est magnifique d'érotisme mais sans vulgarité.


La voilà devant moi, offerte, soumise, aux ordres et attend ainsi à quatre pattes mon bon plaisir.


D'un ton sec et ordinateur, je lui dis de m'offrir son cou et passe autour de celui-ci le lourd collier d'esclave et verrouillé celui-ci ce qui provoque chez elle un sursaut.


Je passe mon doigt dans ce grand anneau et d'un geste maîtrisé, l'oblige à se relever mais, l'oblige également de courber l'échine.


Elle repositionne ses bras dans son dos et me suit soumise, offerte, prête à tout mais, sans qu'elle le sache, je lis bien en elle une appréhension, ses jambes tremblants légèrement.


La voilà face à ma croix de saint André, je vois bien dans son regard ses yeux qui brillent mais également sa respiration s'accélérer, une jambe qui sursautent d'une façon nerveuse.


Je saisis ses poignets dans son dos, les ramène devant elle, les tenants fermement dans mes mains comme si ils étaient contraints par des cordes, des menottes ou toute autre contrainte.


Je lève ses bras, prends, prends une cordes et contraint le poignet droit à l'anneau de la croix.

Je fais de même avec le poignet gauche.


Prends une autre corde et lie ses bras à la croix.


Prends une autre corde et lie son buste, sa poitrine, ses hanches à la croix.


Je relève la tête, la regarde droit dans les yeux et l'observe, cherche chaque expression, chaque manifestation de plaisirs, de troubles, d'excitation.


Elle est impressionnée et excitée à la fois, comme un plat sucre, salé, un plat chaud et froid, ses sens perturbés par toutes ces informations, ces ressenties, ces sensations qui inondent la totalité de son corps, de son esprit, de tout son être.


Je la connais suffisamment maintenant pour lire en elle et sais, que je peux continuer.


Une corde vient prendre possession de sa cheville droite, puis sa cheville gauche, écartent fortement ses jambes, laissent apparaître son intimité humide et entrouverte ce qui, quand je la regarde avec insistance, provoque chez elle un sentiment de honte qui, l'excite beaucoup apparemment.


D'autres cordes viennent contraindre la totalité de ses jambes et ainsi, ne lui autorisent aucun mouvement.


La voilà nue, avec ce gros collier de métal sur ses omoplates, entièrement encordées, offertes sur ma croix-t-elle une madone prisonnière de ses propres fantasmes de Femme.



Je prends beaucoup de photos, sur tous les angles, le spectacle est d'une beauté diabolique.


Je viens vers elle avec un bâillon harnais.


Elle le regarde avec appréhension.


D'une voix ferme, je lui ordonne d'ouvrir la bouche et lui introduit la boule entre ses lèvres, passent les harnais au-dessus de sa tête et de part et d'autre de celle-ci, verrouillent les harnais derrière celle-ci et sur la gauche et la droite.


Passe des autres harnais autour de son cou et verrouille fermement celle-ci ce qui, entrave sa bouche fortement et l'empêche de sortir un mot.


Quelle est belle ainsi offerte, soumise, esclave de ses sens, bâillonnée ne s'appartement plus, offerte au Maître du lieu.


Je lis dans ses yeux cette détresse fantasmée qui lui provoque autant de plaisir évoqué par l'ouverture totale de son intimité maintenant plus qu’humide.


Mon regard à cet endroit provoque chez elle des rougeurs facilement visibles sur ses joues mais provoque également une respiration saccadée d'excitation.


Je viens vers elle avec le bandeau qui va la plonger dans le noir et son imagination exacerbée et ouverte à tous les ressenties, tout plaisirs, prête à crier sa jouissance ainsi reçue et vécue.


Elle est prête, dans l'impossibilité de bouger, de se libérer, de parler, de voir, offerte à 100% à ces fantasmes de Femme soumise et heureuse de l'être enfin, libérée par les contraintes que la société, son éducation lui impose.


Je la laisse ainsi vivre ce moment très personnel et je sais par expérience nombreuse que les plaisirs ressentis à ce moment sont très puissants et provoque chez certaines des orgasmes étouffés par le bâillon mais, heureusement perceptible.


Je viens vers elle avec discrétion et fais glisser doucement, juste effleurer les lanières du fouet sur son buste, entre ses seins, entre ses cuisses.

Les réactions sont instantanées et elle gémit déjà.


Je retourne le fouet et avec son manche glisse doucement entre ses cuisses laissant présager une possible pénétration qui ne se fera pas puisque non prévu dans le scénario mais, suffisamment troublante pour provoquer des gémissements bien plus forts et le tressaillement de son corps.


Je retire le fouet et laisse planer un moment pour la laisser être troublée mais quelques secondes plus tard, abats le premier coup sur ses cuisses.


Elle sursaute et crie en même temps, le son étouffé par le bâillon mais très parlant car, plus proche d'un cri de jouissance que d'un cri de douleur.


Je recommence et le cri est encore là, troisième cou puis sans attendre, fouet son ventre, le humm parle de lui-même.

Un autre cou s'abat toujours très apprécié.



Elle est bien préparée, bien chaude, il est temps de passer à des endroits plus sensibles mais, bien plus orgasmique.


Je décide de fouetter ses seins et là, un orgasme se fait entendre, étouffé par le bâillon mais très facilement reconnaissable.


Deux, trois, quatre coups sur ces seins, ses tétons devenus très durs, elle est en overdose de plaisirs.


Je la laisse ainsi reprendre ses émotions.

Doucement la caresse, son ventre, ses cuisses douces et chaudes. Ses seins tellement tendus et fermes.


Sans crier gare, je fouette son entre cuisses et sur ses grandes lèvres, abats le fouet de façon franche et volontaire.


La extrêmement excitée, des orgasmes à répétition se font entendre, elle a du mal à reprendre son souffle, sa respiration, son corps tressaillant, ses doigts tantôts tendus, tantôts repliés, elle est complètement sous l'emprise des plaisirs incontrôlables qui inondent son corps, son esprit, son âme de Femme soumise et enfin heureuse de l'être.


J'attends patiemment qu'elle reprenne ses esprits et reprends de plus belle et là, complètement en overdose des plaisirs intenses reçus, elle urine sur le sol ne contrôle plus rien.


À ce moment, je sais qu'elle s'est donnée à moi comme aucune Femme ne peut le faire autrement que dans le BDSM et cela sans avoir dû la pénétrer avec ma virilité.


Peut-être qu'un jour, elle viendra pour cela mais, cela n'est pas important, le principal est qu'elle est vécue se pourquoi elle était venue et que nous avons pu, l'un comme l'autre vivre ce moment en toute complicité, dans le respect et le partage.


Maintenant il est temps de la libérer, de prendre soin d'elle, de l'aider à s'asseoir et de la prendre dans mes bras et de lui permettre en douceur, doucement de reprendre pieds car, elle est encore sous l'effet de l'extrême plaisir qu'elle a reçu et cela là vidée complètement.


Très fatiguée, tremblante, je lui donne à boire, tenant le verre pour qu'elle puisse se désaltérer.


Lui massant les bras, les jambes pour qu'elle est une bonne circulation, lui caresse le visage pour l'apaiser.


Attends patiemment qu'elle me parle et échanger avec moi et ainsi partager tous ses plaisirs intenses et jusqu'ici inconnu qui l'ont transformée à tous jamais.


Une fois remise de ses émotions, nous avons échangé et partagé ensemble en toute complicité, ces moments intimes et puissants.


Au bout d'une bonne heure, fraîche et prête à me quitter, elle à nettoyer avant de partir la preuve de son extrême plaisir avec un doux mélange de sourire complice et comblé comme une certaine honte d'avoir uriné sous l'insupportable pression des plaisirs incontrôlables reçus.


Voilà notre séance terminée, j'espère que la retranscription de cette séance vous a plu.


Mesdames, n'hésitez pas à me contacter si tout comme elle, vous voulez vivre de tels moments.


Nous pourrons ensemble concevoir votre scénario, vos limites, vos envies, vos fantasmes.

Que vous soyez comme cette jeune Femme seule ou accompagnée, j'étudie toute proposition, à vos claviers.


Le but de ce blog est de vous faire partager mes passions dans mon donjon mais, son but premier, est de trouver celle qui sera mienne de façon régulière, sérieuse et suivie.

Quand je l'aurai trouvé, elle ne sera plus que la seule et mon donjon sera également son donjon.


Je vous souhaite une belle journée, Mesdames, à vous lire, bien cordialement Maître Bernard.


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Elle rêve, fantasme d'être très contrainte par des cordes, fortement bâillonnée, les yeux bandés, mon collier d'esclave en acier, lourd et froid sur son cou,  nue ainsi offerte, fragile, et d'être flagellée sur les parties les plus sensibles de sa féminité.
Fantasme de flagéllation




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