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  • Photo du rédacteurMaître Bernard

Dernière mise à jour : 28 mars

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Je la laisse se reposer, reprendre ses esprits, après m'avoir bien donné des plaisirs entre ses douces lèvres.


Après avoir bien joui d'avoir été fouettée, cravachée pendant cette fellation gourmande où, après l'avoir laissé faire, j'ai pris les commandes et j'ai bien utilisé cette esclave pour mes plaisirs d'Homme, de Maître.


Je la détache, lui enlève mes cordes fétiches, mais lui laisse son collier autour du cou, preuve, signature de sa condition, de sa position sociale.


Ainsi bien humide, bien offerte, aux ordres, je lui mets des bracelets de métal aux poignets et verrouille les serrures.


Fait de même avec ses chevilles qui contrairement aux bracelets de poignets, sont reliés entre eux par une chaîne qui accentue encore plus le côté esclave de cette parure de contrainte.


L'effet est beau et évocateur, là enchaînée, en attente de s'offrir, d'obéir, elle est belle, féminine, Femme et pourtant qu'un objet de plaisir, une chose à utiliser, un jouet à abuser.


Je décide pour lui permettre de ressentir encore plus sa soumission, de relier les bracelets de poignets à l'anneau du collier, action que je verrouille par un cadenas qui immobilise ses mains à hauteur de sa bouche.


Là, en collier d'esclave, les bracelets de poignets contraints par ce cadenas à l'anneau du collier, les chevilles prisonnières des bracelets de métal et de cette chaîne, je vais pouvoir l'utiliser comme bon me semble et ainsi, lui permettre d'être celle qui l'a fait t'en fantasmer, lui donne autant de plaisir d'être ainsi qu'un jouet sexuel.



là enchaînée, en attente de s'offrir, d'obéir,  elle est belle, féminine, Femme et pourtant qu'un objet de plaisir, une  chose à utiliser, un jouet à abuser.
Exclave en position d'attente, enchainnée et à disposition

Je promène mes mains sur son corps, titille ses tétons, passe ma main entre ses cuisses, glissent un doigt profanateur.

L'effet ne se fait pas attendre, des gémissements se font entendre et je sens son intimité s'humidifier encore.


Ses tétons bien préparés, je prends des pinces avec chaînette et lui impose leurs présences mordantes sur ceux-ci.

L'effet doux mélange de plaisirs est de douleurs est un délice pour elle comme pour moi.



Ses tétons bien préparés, je prends des pinces avec chaînette et lui impose leurs présences mordantes sur ceux-ci.
Pinces, chaine et tétons


Ce moment excitant pour les deux acteurs de cette union sont très palpable et c'est le moment, que je choisis, pour lui diriger d'une main ferme, sa bouche vers ma virilité et ainsi, effectuer son devoir.



Ce moment excitant pour les deux acteurs de cette union sont très palpable  et c'est le moment, que je choisis, pour lui diriger d'une main ferme,  sa bouche vers ma virilité et ainsi, effectuer son devoir.
Effectuer son devoir d'exclave

Après m'avoir bien sucé, je décide de la prendre dans mes bras, de la diriger ainsi contrainte, offerte et enchaînée vers la table, de l'allonger la tête en bas.

Ainsi, à la bonne hauteur, je décide de l'utiliser sans son intervention et pilonne sa bouche comme la bonne esclave sexuelle qu'elle aime être.


Ces gémissements sont bien présents et son excitation bien réelle, audible et palpable.



 je décide de la prendre dans mes  bras, de la diriger ainsi contrainte, offerte et enchaînée vers la  table, de l'allonger la tête en bas.   Ainsi, à  la bonne hauteur, je décide de l'utiliser sans son intervention et  pilonne sa bouche comme la bonne esclave sexuelle qu'elle aime être.
A table

Je lui fais faire un 180° et la prends sans crier gare et sans la consulter, elle est ma chose, j'en fais l'usage qui me plaît.

Allongée sur le dos, les jambes enchaînées et écartées, je lui pilonne son vagin avec force et virilité.


Après un bon moment à bien la posséder jusqu'au fond de son intimité, j'éjacule sur son ventre et ses seins.


Elle jouit après avoir eu ses orgasmes d'esclave et mon sperme, qui coule entre ses cuisses, l'excite encore plus.



Je prends sans crier gare et sans la consulter, elle est ma chose, j'en fais l'usage qui me plaît.   Allongée sur le dos, les jambes enchaînées et écartées, je lui pilonne son vagin avec force et virilité.
Enchainnée, contrainte, prise, utilisée

C'est la fin de l'acte 2, bientôt l'acte 3 et fin.

J'espère que ce deuxième opus vous a plus.

Bien cordialement Me Bernard


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  • Photo du rédacteurMaître Bernard

Dernière mise à jour : 20 sept. 2023

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Bonjour à toutes et à tous,

Nouvelle parution et donc nouvelle séance avec, une soumise désireuse de vivre sa condition première, être aux pieds et aux ordres d'un Maître pour, le servir et s'abandonner corps et âme.


C'est dans leur couple Monsieur qui m'a contacté.

Il m'a fait part du fait qu'il était candauliste et qu'il désirait m'offrir sa compagne soumise pour que je prenne son éducation en main et fasse d'elle une esclave sexuelle.


Après bien des échanges avec lui, le commencement de son éducation pour elle, avec des ordres à exécuter avant qu'elle ne soit à moi, à genoux, à mes pieds, aux ordres de mes envies de faire d'elle ma chose, mon jouet, mon objet de plaisir.


Le rendez-vous est pris, elle devra se présenter à moi coiffée avec féminité, maquillée juste ce qu'il faut, habillée d'une jupe, d'un chemiser, d'escarpins à talons hauts pour une féminité jusqu'au bout des pieds.

Un porte-jarretelles avec de beaux bas noir et bien sûr, comme toute soumise, pas de culotte pour toujours être à disposition pour le Maître du lieu.


Le jour de la séance est arrivé, il est convenu qu'il frappe à la porte, que j'ouvre et m'éclipse dans le donjon pour leur permettre d'entrée dans le couloir, et ainsi, lui poser un masque sur les yeux de façon, à ce qu'elle ne puisse voir, celui qui va la dominer, l'utiliser comme une bonne soumise, une bonne esclave.


Les voilà tout deux dans mon donjon.

Elle a bien obéi à mes ordres, elle est dans la tenue que je lui ai imposée.


Pendant qu'elle se trouve dans le noir de son masque, debout au milieu du donjon, je fais connaissance avec son candauliste de mari.

Le courant passe bien entre lui et moi, c'est une personne très sympathique qui, ne cherche qu'à satisfaire les fantasmes de soumissions de sa Femme ainsi, que ses envies candauliste de la voir offerte, soumise, utilisée par un autre Homme. Nous avons les mêmes objectifs au sujet de cette soumise.

Je l'invite à s'asseoir et ainsi, profiter du spectacle en, si le désire, prendre des photos et vidéos souvenir.


Je viens vers elle, me colle contre son corps pour qu'elle puisse sentir mon odeur, ma présence, le fait qu'à partir de ce moment, elle ne s'appartient plus, elle n'est plus à son mari non plus, elle est à moi pour la journée et je vais en profiter pleinement.


Je promène ma main, mes mains le long de son corps, effleuré ses seins sous son chemisier, retrousse légèrement sa jupe sans aller trop haut pour accentuer les ressenties, les sensations qui l'inondent de tous son être.


Je me rapproche et lui indique que maintenant, elle est à moi et exige de sa part qu'elle me dise d'une voix claire et net, la phrase que je lui ai écrite et imposée par mail avant sa venue.

D'une voie hésitante, elle me dit, je suis à vous mon Maître, faite de moi ce que bon vous semble.


C'est le mot clé-elle est prête à me servir, m'obéir, s'offrir totalement pour mes plaisirs.


Je lui enlève bouton par bouton sont chemisier, lui dégrafe son soutien-gorge et saisie ses seins avec douceur, mais alterne cette douceur avec le pincement de ses tétons.

Je me délecte de ce moment et joue avec sa poitrine.

Je sens, entends sa respiration s'accélérer, elle commence à ressentir mon emprise sur elle et devra s'abandonner totalement.


Je me baisse et commence à remonter doucement ma main entre ses jambes, du côté intérieur de ses jambes et finis par relever, doucement sa jupe pour lui caresser les fesses et glisser un doigt entre ses cuisses et m'apercevoir qu'elle mouille déjà.


Je fais tomber sa jupe sur le sol, la voilà presque nue avec, juste son porte-jarretelle, ses bas et ses escarpins comme vêtement.


Je fais exprès de faire du bruit dans ma commode où sont bien rangées mes contraintes de métal et jouets divers.

Je vois la chair de poule apparaître sur ses bras.

Je prends mon magnifique collier d'esclave en inox chirurgical, lourd, froid et terriblement intimidant.


Je l'ouvre, le referme sur son petit cou et quand le verrouillage se fait entendre, je sens son petit corps tout frétillant.

Je prends une laisse et verrouillé celle-ci sur l'anneau du collier.


La voilà prête, esclave prête à obéir à mes ordres, prête à me servir, prête à me donner des plaisirs.


Elle est là debout, entravée, encordée, offerte.

Je joue et titille ses tétons, caresse ses seins.


Je passe un doigt dans l'anneau du collier et l'oblige par ce geste à se mettre à genoux.

Je prends une autre corde et commence à lier ses chevilles l'une contre l'autre, bien serrées, bien encordées, contraintes.


Je m'assois sur le bord du lit, face à elle, à genoux, contrainte, dans l'obligation de me servir, de me donner du plaisir, de s'offrir.




Je lui caresse les seins avec une main, avec l'autre, je saisis ma cravache et commence à préparer ses fesses au changement de couleur comme, au changement de température.


Plus je single avec la cravache sur ses fesses, plus je tire sur la chaînette qui réunit les pinces sur ses tétons.

Je commence à entendre ses gémissements des plaisirs d'être ainsi soumise, chienne, esclave et dominée par ce Maître qui fait d'elle un instrument de plaisir.


Je laisse la cravache sur le lit et sans attendre, sans lui laisse le temps de réagir, la saisie par les cheveux et lui enfourne mon pénis en bouche et lui intime l'ordre de me sucer.



Excitée, bien mouillée, elle me suce sans se faire prier.

Sa bouche, qui va et vient sur mon pénis, est toujours pour moi un immense plaisir.

La voir devant moi, à genoux, encordée, contrainte et offerte, dans l'obligation de me donner du plaisir, des plaisirs, sa place d'esclave sexuelle.


Plus elle me suce, plus l'envie de lui tirer les tétons, les seins me fait envie.

Je m'exécute toujours prêt à satisfaire ces dames.

Et puis, pourquoi ne pas marier fellation, maltraitance des seins et cravache sur les fesses ? En voilà une bonne idée.

Aussitôt dit, aussitôt fait et commence par bien lui tirer sur les tétons, accélère les frappes sur son croupion et, au bout d'un moment, l'entends gémir des plaisirs physiques et psychologiques qui l'envahissement.

Elle est bien chaude, bien excitée, bien mouillée, une bonne esclave heureuse d'être ainsi utilisée.


Plus elle suce, plus je tire, plus je claque et plus elle gémit donc, il est de circonstance d'ajouter une pression supplémentaire pour l'utiliser encore plus et ainsi, lui permettre de franchir une autre étape, un autre cran dans les puissants plaisirs qui l'inondent. Je saisis sa chevelure et prends les commandes de sa bouche et ainsi choisis le rythme et la profondeur de ces plaisirs qu'elle m'offre.

Je l'oblige à me sucer plus vite, plus profond, juste à la limite de l'étouffement pour qu'elle se sente encore plus soumise, chienne, esclave.


Une petite vidéo pour les plaisirs des yeux :


Voilà pour cette première page sur cette nouvelle séance.

Je me ferais un plaisir de continuer ce moment de soumission avec vous plus tard, sur une seconde page où elle sera encore plus à moi et où, je l'utiliserai avec ces autres orifices.

A bientôt, cordialement.

Maître Bernard



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  • Photo du rédacteurMaître Bernard

Dernière mise à jour : 28 mars

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Je fixe autour de mon cou le lourd collier que mon Maître m'a donné et qu’il veut me voir porter. Impossible de l’oublier, il pèse sur mes clavicules. J’essaie de voir l’effet dans un miroir. Il est en acier, très épais. La boucle sur le devant me semble énorme. Il est très beau. J’aimerais à cet instant le sentir plus enveloppant encore. Moins flottant.

Dehors, je sens le regard des hommes qui cherchent le mien comme une confirmation et celui des femmes qui m’évite et désapprouve cette condition que j’affiche. Je suis assez mal à l’aise. Je n’ai aucune gêne à discuter avec les gens de ce que je pense, de la façon dont je me sens naturellement soumise auprès d’un homme. Mais le mettre en évidence de cette manière, en manifeste, c’est comme une effronterie, presque une agression de l’autre qui ne m’a rien demandé et ne veut rien savoir de mon intimité. Je ressens cela souvent face à une femme voilée ou un barbu et ce parallèle de mon cerveau me trouble.

Dans le même temps, je suis fière de cette marque d’appartenance qui m'attache à mon Maître, même éloigné. Et lorsqu’il m’attire tout contre lui en glissant le doigt dans la boucle à mon arrivée, je sens les prémices du plaisir s’installer au creux de mon ventre.

Je subis sa petite inspection, routinière maintenant, dans le hall du Donjon. J’aime sentir son corps appuyé de tout son poids sur le mien collé au mur. Je suis heureuse de le respirer. Je suis heureuse lorsqu’il m’offre son intimité à goûter. Je suis heureuse lorsqu’il imprime son corps dans le mien et que je sens mon collier tinter et claquer sur ma peau, ce rappel de ce que je suis pour lui. Sa petite chienne dressée ( ou en cours de dressage.

J’ai envie qu’il m’attache et me contraigne aujourd’hui. J’ai besoin de vivre cela pour mon Maître, avec mon Maître. Je ne l’exprime pas et pourtant je l’entends derrière moi faire glisser la corde dans le creux de sa main. Connexion ? Je suis assise et c’est bien. Je pourrai alors maintenir ma tension artérielle stable. Je suis plus excitée qu'anxieuse à ce moment-là. Je veux réussir. J'y ai pensé toute la semaine. J’ai inlassablement répété la scène dans ma tête et anticipé mes réactions. Et puis j'adore le souffle de mon Maître sur ma nuque, ses lèvres sur ma tempe et sa joue contre la mienne après chaque tour de corde qui laisse aussi l’empreinte de ses doigts sur mon buste, sur mon ventre, entre mes jambes… Jamais je ne me suis sentie plus à lui livrée ainsi.

Nous avons remporté une petite victoire aujourd’hui...


e fixe autour de mon cou le lourd collier que mon Maître m'a donné et qu’il veut me voir porter.
Tranche de vie d'une soumise


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